Arras Film Festival 2018 : c'est parti !
03/11/2018
J'espérais arriver tout à fait détendue puisque pour une fois sans rush professionnel de juste avant les vacances afin de pouvoir se libérer, ni crainte d'être appelée pour une urgence (1) : il aura fallu qu'une histoire de caveau et de concession à payer se fasse jour à la veille du départ. #SyndromeDeGeorgeBailey
Pour autant nous avons pu partir dans les temps et rouler sans anicroches, par beau temps.
Comme j'ai tardé à confirmer ma réservation (trop d'incertitudes professionnelles de part et d'autre en juin quand il aurait fallu que j'expédie le mail qui va bien), nous avons dans la maison d'hôtes, une chambre réduite au confort curieux (2) et qui donne sur les voies de chemin de fer. L'avantage est que la vue de la table qui fera office et de bureau et de table à manger est attrayante. Et que peut-être du fait de sa superficie inférieure elle sera moins froide.
Cette année le programme du festival est particulièrement copieux, tant et si bien que j'ai dû faire des impasses : même en axant nos choix sur les films de la compétition européenne et des "visions de l'est", il a été difficile de faire nos réservations sans trop de chevauchements. Et nous allons tourner à 4 à 5 films par jour, ce qui est un maximum avant saturation même pour des festivaliers aguerris.
Reste le suspens habituel : les pépites potentielles que j'ai cru repérer seront-elles à la hauteur de nos espérances ?
(1) Comme je fais une cure de cinéma pour me remettre les neurones à neuf, ce que d'autres par exemple recherchent dans l'ivresse (enfin, je crois), j'éprouve toujours un mal fou à opérer une reconnexion en cours de séjour.
(2) Le coin cuisine se répartie entre la chambre et la salle d'eau -WC.
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