En lisant un article sur une tempête de sable à Katmandou

 

    En lisant un article sur une tempête de sable à Katmandou, j'ai entre-aperçu en lisière une photo d'un des "Royals" britanniques. Elle m'a mise comme un doute solide. (et bien un peu drôle)

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(En même temps une de mes collègues jeunes l'avait vu sur la fin de son étrange passage, et je me dis qu'elle l'aurait reconnu, elle)

Petit poème spécial journée des droits des femmes

(C'était hier je sais, mais c'est aujourd'hui que je l'ai retrouvé)

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Poèmes retrouvés

(en cherchant bien sûr tout autre chose).

Je vais mieux, celui-ci m'a fait marrer.

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J'ai aussi retrouvé ceci, la fin de quelque chose de trop intime pour par ici. Il n'empêche que j'avais oublié - comment ai-je pu oublier ? -.
Les tracas chroniques et l'ensemble des chagrins sont des effaceurs.

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(Mes résolutions de rangements d'un seul coup montent d'un cran) #àquelquechosemalheurestbon 

Et puis celui-là, voilà : 

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Hayden et Kendall à nouveau ensemble (à la manière de)


P7181934Parfois, je commets une photo de paparazzo. 

(prénoms empruntés à la presse pipole du jour, aucune idée de qui sont les uns et les autres - il m'a semblé que l'image était prise de suffisamment loin et d'une activité suffisamment peu compromettante - traverser au passage piétons - pour que je puisse la poster)


À 50 ans elle découvre enfin quel est son super-pouvoir

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Nous avons tous au moins une addiction et un super pouvoir. Proserpine, habitante de Clichy la Garenne savait depuis l'âge de 8 ans que son addiction était la lecture. Ce qu'elle n'a découvert qu'à 50 c'est que son super pouvoir était de passer commande à la rue de ce qui lui manquait comme objets courants de la vie quotidienne. Il y avait déjà eu plus d'une fois quelques jolies fortunes d'encombrant. Ainsi ce siège pour poste de travail informatique trouvé 2 jours après s'être fait la remarque que celui du fiston était vraiment trop usé. Une chaise trouvé au surlendemain d'avoir usé jusqu'au vide la paille de la sienne. Un carton plein d'enveloppe à la veille de devoir effectuer un envoi en nombre - pas tout à fait au bon format les enveloppes mais néanmoins utilisables -. Mais la confirmation qu'il ne s'agissait pas simplement de hasard est arrivée en ce 31 juillet.

Elle avait en effet perdu ou égaré son porte-monnaie quelques temps plus tôt. Leur dernier moment commun identifié fut lors que l'affranchissement d'un courrier destiné à la Sécurité Sociale et qu'elle avait cru pouvoir déposer dans la boîte à lettre de cette administration. Cette dernière venait hélas d'être condamnée et il avait fallu filer à la poste afin d'affranchir la lettre. Les derniers centimes du porte-monnaie y étaient passé. Peut-être parce que si vide et devenu trop léger, il avait disparu dans la foulée (tombé sans faire de bruit ?). Il convenait donc d'en racheter un. Comme il n'y avait rien ou peu à mettre dedans dans l'immédiat, elle avait décidé d'attendre le début d'août.

Par ailleurs ayant entrepris quelques rangements et une collection de documents officiels récents à classer elle avait noté la nécessité d'acquérir des pochettes transparentes perforées. L'urgence n'était pas telle qu'il fût impossible d'attendre le début du mois suivant pour engager cette dépense.

Il s'est trouvé que dans une petite poubelle des beaux quartiers, soigneusement déposé près d'une poubelle officielle, un de ces sacs cartonnés de restauration rapide (dans lequel restait aussi canettes et paquets de gâteaux vides et quelques autres vrais déchets, mais propres, de ceux que selon les villes on peut ou non recycler), elle a dégoté très exactement un porte-monnaie (aussi vide que celui enfui, il ne faut pas (trop) rêver, et un sachet au 3/4 pleine de ces pochettes transparentes perforées. Comme si un ange de Wim s'était chargé de la liste de courses et sans attendre le 1er. Le porte-monnaie était usé ce qui pouvait expliquer sa disgrâce mais les pochettes neuves et propres. Qu'est-ce qui peut pousser quelqu'un à jeter dans cet état prêt à l'emploi un tel article de papeterie ?

En attendant de pouvoir résoudre cette épineuse question, Proserpine sait désormais que son super pouvoir est de pouvoir par une simple pensée de bonne ménagère contacter un père noël secret de la cité et le faire en dehors de toute saisonnalité.

 

PS : Le prénom a été modifié

 

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PS' : Pour un peu je regretterais de n'avoir pas eu de d'achat différé plus ambitieux

Boutade à part, j'ai vraiment trouvé ces deux éléments à la veille d'entreprendre de les acheter car ils manquaient.

Et par ailleurs jeté dans un sac près des poubelles de l'immeuble du lieu de travail, un sac à main, lui aussi légèrement usé mais encore très correct, et qui ressemble de façon troublante à celui que dans un douloureux rêve récurrent de ces denier temps j'hérite avec une sorte de mission de devoir faire bon usage de ce qui est dedans. Celui trouvé ne contenait rien (pas même un carnet rouge), mais c'est vraiment LE sac de ces songes à répétition, par ailleurs assez violents. Si seulement l'avoir trouvé permettait leur disparition ça serait un soulagement. Même de façon onirique, je ne tiens pas tant à me venger du mal qu'on m'a fait. Les états belligérants du moment nous montrent suffisamment quelle spirale infernale s'enclenche dès qu'on s'y laisse aller.

 


Le code cul erre


Tu as fait des frais de lingerie pour ton nouvel ami - il est trop tôt pour parler d'amour, mais tout va bien au lit -. Ce n'est pas trop ton truc mais l'époque est dans l'apparence, et puis tu n'aimes pas porter pour l'un ce qui plu à l'autre, une façon de rêver en démarrant même pour les petits habits avec du neuf que cette fois-ci enfin ça se finira bien et pas par une mise en silence ni un Contente-toi d'être une amie, j'ai trouvé mieux, voire un aveu de 15 ans vieux, Depuis tout ce temps-là ce n'était plus toi (1). 

Bon, tu n'as pas changé, faire du shopping pour toi est une immense corvée, sauf quand il s'agit de chercher le bon vêtement pour un bien-aimé et qu'il contient du temps et des rires partagés. Tu es donc allée au bout de ta rue : une marque de lingerie et vêtements d'intérieurs, puis vêtements généraux - mais c'est la lingerie qui l'a fait connaître, y a posé son siège social il y a plusieurs année et une boutique garnit le rez-de-chaussé. Plus d'une fois sortie sans écharpe, sans bonnet, ou avec un pull trop léger, tu t'es rendue compte que ça n'irait pas pour affronter la journée et au passage tu t'es rééquipée car le temps pressait et qu'il était trop tard pour rebrousser chemin. 

Mais cette fois ce sont des sous-vêtements que très volontairement tu achètes. La vendeuse t'annonce que si tu as un smart phone en captant le code QR reproduit qui en motif dans la dentelle, qui sur l'étiquette, tu pourras accéder à un texte d'une page écrit par l'un ou l'autre des plus fameux écrivains. Tu as vaguement pensé On n'arrête pas le progrès, mais tu n'avais que le futur rendez-vous en tête et ça ne t'a pas outre mesure tracassée. Tu n'as même pas pensé à demander si le choix était aléatoire ou par couleur, modèle ou taille. Pour le rouge j'aurais du Barbey d'Aurevilly, pour le noir du Stendhal. Et si je prends ce "chair" vieillot, aurais-je un brin de Bovary ?

Voilà, tu es dans ces moments où ça plane pour toi, c'est l'euphorie des débuts de quand les corps exultent et que l'intendance ou la famille ou les dettes les chômages les poubelles à descendre les fuites d'eau les rages de dents la personne qu'on aimait avant et un peu moins maintenant mais qu'on ne veut pas blesser n'ont pas encore tout fait capoter. L'avantage de l'âge c'est qu'on sait que ça ne saurait durer.

Alors on profite, joliment habillée, sexytudinellement dévêtue, et que le moment soit parfait.

 

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C'est en ramassant ton panty (2) après les instants extatiques que l'homme s'amuse, C'est quoi ce code sur ta culotte ?, saisit son téléphone, des fois qu'il y ait une pub avec une longue blonde aux jambes interminables, vu que sur ces points-là, avec toi il n'est pas sauvagement comblé (3). Mais voilà que le clic fait apparaître un texte, Hé dis-donc c'est une histoire, toi qui aimes lire, tu vas adorer !

Tu sors propre et fraîche de la salle de bain au moment où il te tend l'appareil avec le texte dessus, 

C'est un extrait de quoi ? demandes-tu en le saisissant. Tu t'attends à Hugo, au torride Apollinaire, à l'insaisissable Rimbaud, quelque coquinerie de ces gars-là. 

Et vlan.

Le texte est de mots d'amour qui un temps furent pour toi, celui qui l'a écrit n'est autre que celui qui te quitta et qu'il t'aura fallu des mois non pas pour l'oublier, c'est impossible, mais pour parvenir à retrouver le chemin du désir. C'est peu dire que la magie du moment amoureux vient d'être vachement brisée.

(version 1)


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 En dégrafant ton soutien-gorge d'un geste délicat (4), l'amant s'aperçoit que le motif de la dentelle fait code, la curiosité commune l'emporte sur la hâte sensuelle, vous supputez un jeu coquin, il attrape son téléphone, oubliant que le temps des ébats vous aviez tout éteint, prend quand même le temps de rallumer pour voir, bipe, semble déçu du résultat, C'est un texte, annonce-t-il un parfum de dépit dans la voix.

- Ah oui ? Fais-voir demandes-tu émoustillée, tout en espérant qu'il ne déb que le récit sera bref et bon.

Et voilà que c'est une histoire coquine et tendre, d'une page, écrite avec élégance par un bon copain, mais que ça fait bizarre de le retrouver là, en cet instant, comme s'il venait se joindre à vous - alors que votre relation n'est absolument pas amoureuse, tu connais sa femme, ils semblent très heureux, tu n'as jamais rien imaginé d'érotique, le lire alors et maintenant t'y oblige et ça te gêne un peu -.

L'amant n'a rien perdu de ses intentions, et tu as vite reposé le téléphone mais c'est toi qui d'un coup n'es plus tout à fait là, qui as changé de registre et te sens toute calmée, sortie du vif du sujet. Ce qui ne convient pas.

(version 2)  


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(1) entres autres exemples glanés dans ma propre vie ou pas très loin ailleurs.

(2) toujours en littérature anticiper les retours de mode. #lettresàunjeunepoète

(3) mais tu as les attaches fines et les muscles harmonieux.

(4) Rêvons un peu.

 


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Tout ce qui précède n'était que fiction, vous vous en doutiez.  Sauf que très prochainement ça sera techniquement possible, hélas pas tant pour les ébats que pour le code consultable (il sera sans doute fourni à part, j'ai simplement poussé un tantinet le concept).

Après mars et sa rubrique (que j'écrirai quand je serai capable de le faire en ne pleurant que de rire) Quand vous êtes libraire ne tombez jamais amoureuse d'un écrivain (5), je sens venir septembre avec cette constatation : Aimer des fournisseurs de matières à code QR peut nuire ultérieurement à votre libido. 

Le vrai gag, ça ne s'invente pas, c'est qu'il y a un bon camarade parmi les premiers fournisseurs, sans parler des amies, et qu'il s'agit vraiment de la marque où je m'équipe pour cause de proximité et qu'elle n'est ni de luxe ni de vulgarité. Pour une fois le marketing m'aura fait marrer.(Quoi que)

 

(5) Qu'une amie du métier qui se reconnaîtra si elle passe, résume ainsi avec romantisme : On ne couche pas avec la marchandise.

addenda du 04 août : Le Monde en parle un peu plus tard.

 

 

 

 

 


Le capitalisme expliqué à Maman (qui n'est pas douée en capitalisme, il faut dire)


De retour d'un peu de sport il faisait grand faim. J'ai donc chauffé à vrai four les tomates farcies que l'homme de la maison avait au préalable ce week-end achetées chez le boucher. Non sans les avoir effectivement quelque peu agrémentées et avoir préparé concomitamment un peu de riz. Le fiston vient se servir, va manger se régale et me remercie pour l'excellent dîner. Je lui dis, je n'ai pas fait grand-chose, j'ai simplement réchauffé.

Il me répond alors d'un air faussement navré, Maman, c'est le capitalisme. Il y a le type qui a fait pousser les tomates, le boucher qui avec la viande les as faites, papa qui les a achetées, mais comme c'est toi qui as préparé ce dîner, c'est toi que je vais remercier.

En moins de vingt ans il a pigé ce qu'en cinquante je ne suis toujours pas parvenue à intégrer.

(En fait mon cas est désespéré : quelle que soit l'activité j'aime être à la production des choses, à leur extraction, sur le terrain, dans le concret ; donc même en ayant conscience de me faire avoir, et à moins de me forcer à ce qui ne m'intéresse pas (paperassifier, communiquer, négocier, vanter), je n'y peux rien, je ne m'épanouis qu'en amont ; l'inoubliable sourire de Patrice Chéreau qui trimbalait un projecteur dans ce théâtre de banlieue pour un spectacle confidentiel qu'il avait mis en scène je crois par amitié, était celui d'un cousin; le bonheur qu'il y a à faire plutôt qu'à faire faire).


Des Jambes Interminables on ne se méfie jamais assez


""Pour la énième fois depuis qu'elle était montée à bord, Gina croisa ses jambes, des jambes galbées et qui semblaient interminables. Le crissement soyeux des bas nylon mit John au supplice.""

avec quelques lignes plus tard le, de fait inévitable, "turgescent" (le taux de corrélation entre interminabilité des jambes et turgescence du membre étant, sauf chez certain auteur belge, proche de 1) : 

"" Gina glissa une main experte dans le pantalon de John à la recherche du sexe turgescent.""

"Le lecteur du 6h27" de Jean-Paul Didierlaurent (Au Diable Vauvert p 109) 

 

On pourra au lire de ces extraits se dire que dans le genre, c'est terrifiant et qu'il s'agit d'un mauvais roman

MAIS ATTENTION :

le passage cité est extrait d'une lecture à voix haute qu'effectue l'un des personnages à partir des feuilles sauvées hasardeusement du pilon. La scène est drôle : il se trouve à lire devant un parterre de personnes âgées, mais comme la façon de faire consiste à prendre dans le désordre et sans tri les extraits sauvés, voilà qu'il tombe sur celui-ci, qui enchaîne à tire larigot tous les clichés de scènes sexuelles vulgaires et sans sensualité ; et songe à en interrompre la lecture (en plus à ce moment-là faite par une tierce personne fort respectable) avant de constater à quel point l'audience est subjuguée.

Il s'agit donc de citation d'une citation. L'auteur s'en est visiblement donné à cœur joie pour en rajouter et je ne serais pas loin de le soupçonner d'avoir travaillé un jour comme relecteur pour un éditeur, on pressent qu'il sait.

Ce sont donc des Jambes Interminables, mais au second degré. On ne se méfie jamais assez.

 

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Le mauvais esprit

 

Alors voilà, je sais que c'est quelque chose que bien des gens ne comprennent pas, mais ce sont des choses que l'on ne maîtrise pas ou au prix d'un effort insoutenable. Des connexions dans nos cerveaux qui se font plus rapidement que la part pensante (et qui est capable, elle, d'être respectueuse et raisonnable) d'où qu'on sort parfois des trucs qui nous fâchent des gens pour deux ou trois éternités même si au départ ce sont eux qui l'ont bien cherché (1). 

Et donc typiquement ce matin, en parcourant cet article du Monde (2), tout en constatant avec l'infinitaire de tristesse que ce #FrenchVaudeville possède hélas une part réconfortante pour moi (3), j'ai aussitôt vu cette scène 

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de "ma" Comédie Croate : The priest's children (à 17' 59"), c'était irrésistible, je n'ai pas pu m'en empêcher et le pire c'est que ça me faire rire, et que chaque fois que j'y repenserai ça me fera marrer.

Comme l'écrivait avant-hier l'amie @brigetoun :

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oui, il faudrait que je prenne la vie au sérieux. 

Le problème est que personnellement, j'ai trop mauvais esprit, que l'humour noir ne débranche jamais (4) et qu'en même temps il y a intérêt à ce que sur lui je puisse compter, car au vu de ce que j'ai pu encaisser venant de ceux qui l'instant d'avant prétendaient qu'ils m'aimaient - et moi, sincère, qui les croyais -, je ne serais plus là pour vous embêter avec ce billet. Sans parler de deux grands moments de ma vie professionnelle en entreprise qui furent d'une dégueulasserie inouïe (5). Ça va qu'en dehors du domaine affectif je suis blindée. Si je n'avais pas tant l'esprit à rire ni par ailleurs le sale instinct du paparazzo qui te fait prendre une dernière photo et que ça éloigne la mort qui ne sait patienter, il y aurait déjà au moins quinze fenêtres par lesquelles j'aurais sauté.

En attendant je me fends la pêche de ce qu'il ne faudrait pas et je navre ou fâche des gens très bien qui ne le comprennent pas.

Tant pis hélas pour eux et moi.
 

 

(1) Oui je sais, jamais je n'aurais dû te traiter de Don Juan à queue molle même après ce que tu m'as fait.

(2) "Vie privée : Hollande promet de clarifier sa situation" signé Le Monde avec AFP et garni de touites comme c'est la mode depuis quelques temps, ce qui permet de substantielles économies de rédaction.

(3) Je ne suis pas la seule à m'être fait quitter sournoisement pour une actrice, même s'il ne s'agissait pas du même type de relation et que comme dirait Facebook C'était compliqué. Et surtout moi qui me reprochais amèrement mon incommensurable naïveté, là ça va soudain mieux. Parce que l'autre infortunée, comme naïve, on fait mieux. 

(4) sauf en cas de deuil de quelqu'un de très proche et très aimé ou de même pas très proche, d'ailleurs (je pleure toujours Patrice Chéreau et sans savoir vraiment pourquoi à ce point-là, même si rationnellement c'est quelqu'un que j'admirais très très fort ; mais voilà cet homme me manque comme un grand ami me manquerait, alors que nous ne nous sommes que deux ou trois fois croisés) ou quand on me quitte comme si l'on me tuait, entre le sens littéral ou figuré du mot supprimer.

(5) Le retournement de veste insensé de monsieur G. alors que Very Big Chef et soudain lui voulaient me pousser à la démission pour atteindre leurs objectifs de compression. Retour de maternité, un stage de formation qui n'avait pas été validé car le site où l'on m'avait envoyée était restructuré (6), j'étais la suivante sur la liste des gens à éjecter.

La cheftaine scoute psychorigide qui m'engueulait pour être restée à tenter de réparer une ânerie qu'elle avait faite et qui avait bousillé certaines données et leurs accès.

(6) Oui je sais ma poisse est assez Bessettienne quand j'y pense. Et je n'ai pas ses qualités.