Mes rêves de riches
Épuisements du soir (my 3 hours a day life)

Il a neigé


    Il a neigé aujourd'hui sur une grande partie de la France mais notamment en Normandie et à Paris.
À Paris ça n'a pas tenu.
J'étais en télétravail, journée intense (1) et n'en ai pratiquement rien vu. Juste pris une photo de ma fenêtre de cuisine à l'heure de ma pause déjeuner. 
Quand je suis sortie pour me rendre à l'Attrape-Cœurs à la rencontre avec Élisabeth Barillé et Blanche Leridon, il ne restait déjà plus que des traces de neige.

Tombée sur ceci sur les réseaux et ça m'a beaucoup plu : 

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Tombée aussi sur le site d'Adam Mastroianni et je me dis que j'irais y lire un jour (à mes heures perdues, persisté-je à penser alors que je sais pertinemment que je n'en ai guère). 

Il paraît qu'il fera 17°c dimanche, et j'ai du mal à le croire.
Mon amie Sacrip'Anne a écrit ces phrases merveilleuses : 
"J'y ai constaté que j'étais à nouveau capable de sentir des nuances dans la fatigue. Yeah. Ca va mieux."
Elle a en somme résumé l'histoire de ma vie. Du moins dans les phases où tout va mieux.

Mais bon en attendant qu'il fasse 17°c et que je reprenne du poil de la bête, le froid d'aujourd'hui même à l'abri et même en ne souffrant plus du froid comme je le faisais autrefois, m'a vidée les batteries.
Et il me reste deux jours à tenir pour boucler cette semaine de travail salarié.
Alors au lit.

PS : Comme le chantait Stephan Eicher Les nouvelles du monde sont mauvaises d'où qu'elles viennent. C'est particulièrement le cas aujourd'hui. Je n'ai pas le courage d'en parler ici. D'autant plus que je n'ai pas un point de vue plus éclairé que quiconque. Simplement j'ai atteint le point où je suis soulagée de n'avoir pas de petits-enfants et peu d'espoir d'en avoir un jour, au lieu que de m'en sentir plutôt triste. Mode Advienne que pourra on.

(1) Au cours de laquelle j'ai dépoté un "ticket" pas si simple, et ça n'est pas fréquent, mais je n'étais pas mécontente de mon boulot. Parfois mon cerveau se souvient que je fus ingénieure, que diable !

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