Les réseaux sociaux c'est aussi une bonne source de fou-rires du soir (espoir)
24 avril 2024
À l'heure où tant de monde se plaint des réseaux sociaux, j'en maintiens un usage anachronique parcimonique et plutôt heureux (même si j'y vois bien entendu passer des expressions de points de vue qui m'affligent ou me laissent totalement perplexe et peu optimiste quant à notre avenir politique). Mon job m'y aide beaucoup : je suis concentrée non-stop sur le boulot, il peut se passer n'importe quoi sur n'importe lequel je l'ignore et découvre seulement quelques bribes le soir en rentrant, trop tard pour intervenir.
Souvent j'y flâne un peu après le dîner, inévitablement tardif, prendre des nouvelles des ami·e·s, me tenir au courant de la marche du monde, au moins les grandes lignes, parfois tenter de comprendre ce que j'ai vu au soir en traversant Paris - ce soir j'ai cédé le passage à un passage piétons sortie de l'Élysée à des officiels des J.O. (1) -, le temps de choper une info décalée ou un trait d'humour qui me fera éclater de rire.
Une fois ma quantité de rigolade absorbée je peux aller me coucher en paix.
Ce soir c'est sur Bluesky que des camarades m'ont fait bien marrer. Et en deux temps qui plus est :
(1) Sebastian, ne vous méprenez pas, je cède le passage à tous les piétons qui traversent dans les clous
(je rigole, je ne sais pas si c'était lui, mais il étaient deux, un homme et une femme, et l'homme avait son allure)