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Traducteur Morse


    À cause d'un touite d'@dareljedid je suis tombée sur un site de traducteur Morse .
Si je ne tombais pas déjà de sommeil je serai capable d'en jouer toute la nuit.
En plus qu'il y a de quoi faire

En plus que le #JukeBoxFou de dedans ma tête en a derechef profité pour s'imposer :

Message in a bottle

 

PS : Rien à voir, mais j'apprends grâce à Alice que Le Guilvinec serait le Godric's hollow des blogueurs, et j'en rigole encore.

 


Rangements en cours ou prévus


    Force est de constater que je n'ai pas accompli en recherches d'objets égarés et rangements ce week-end tout ce que j'espérais.
Il n'en demeure pas moins que j'ai retrouver un nombre certain de casques pour le vélo. Ils sont différents et pour différents usage donc ils serviront mais il n'empêche que tombés derrière l'un des piles de bouquins ou masqués par un empilage de vêtement, avaient les uns puis les autres par leur disparition suscité l'achat de remplaçants.

Il est grand temps que je passe à la vitesse supérieure.


Tri des photos de mars 2019


    En mars 2019 il y avait un week-end de ciné-club à Ménilles. 

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À l'époque les cours d'eau étaient bien alimentés.
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Je retrouve une image d'un match de foot dont je ne sais plus rien. Sans doute étions-nous simplement passés par le stade pour rentrer d'une balade.
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Le 3 mars 2019 Le Joueur de Pétanque s'entraînait donc à la pétanque, entre deux films vus, dans un cadre plutôt beau.

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Le 6 mars 2019, je recevais sur Cause Commune les camarades du Gang du Roman Poétique, sans doute à un instant de pause ou juste avant le début j'ai pris cette photo côté technique où l'on entrevoit Quentin qui s'occupait de la régie et m'a appris l'essentiel.

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La radio est ce qui me manque, avec la danse, de ma vie d'avant. Il ne serait pas possible de concilier ces activités avec mon emploi actuel, en quelque sorte issu de la pandémie ou plutôt de ses conséquences. En tant que libraire et qu'animatrice d'émission, je me sentais utile et à ma place d'interviewer les personnes. 

Une photo du 12 mars 2019 me montre que c'est à ce moment-là que Porte de Clichy le panneau publicitaire mais néanmoins utile qui affichait l'heure et la température a été remplacer par un "Demander justice" aussi menaçant qu'inutile aux passants. 

Je retrouve des notes sur un cahier, pour le travail en librairie.

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Le 16 mars 2019, je prends une étrange photo dont je ne sais plus ce qu'elle représente (quelque chose d'un chantier ?).

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Il y a toujours ce bâtiment près de la BNF qui me rappelle immanquablement la RDA. Je ne sais pas précisément dire pourquoi. 

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Sur les murs de notre ville, en mars 2019

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Le 24 mars 2019 c'était les 10 km des Foulées de Clichy.

Il n'y en a pas eu depuis (ou alors, pour cause de pandémie, en très décalé et nous n'avons pu y participer) 

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Street art pris en photo le 25 mars, vers Montreuil :

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Je retrouve aussi, prise dans les environs du Guilvinec le 28 mars 2019, une photo qu'il me fait chaud au cœur de retrouver aujourd'hui : 

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Je retrouve également une photo que l'un d'entre nous avait transformée en pseudo couverture d'album d'un groupe rock fictif. 

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Une fois de plus je suis frappée par la faille temporelle ou tout du moins la discontinuité induite par la pandémie. Le phénomène a été accentué chez moi par une reconversion professionnelle assez conséquente survenue juste après le premier confinement. 
Quand je regarde ces images issues de ma vie d'avant elles me semblent beaucoup plus lointaines qu'un simple "Il y a trois ans". Le fait que nous ayons repris une vie depuis ce printemps qui fait semblant d'être normale, et que par exemple aujourd'hui même j'ai revu la plupart des personnes qui figuraient sur les clichés de fin mars 2019, n'y change remarquablement rien. Je me dis simplement que mes ami·e·s de ma vie antérieure (un peu comme s'il s'agissait d'amis d'une enfance tardive) n'ont pas beaucoup changé malgré tout ce temps.


Tri des photos de février 2019


    C'est reparti pour une session de tri : je m'en occupe le week-end lorsque je suis physiquement trop fatiguée pour ranger des objets (je recherche deux livres que j'ai "trop bien" rangés avant le premier confinement, mémoire effacée - c'est comme si la vie calme des deux mois et demi en paix, suivi par l'apprentissage sur le tas d'un nouveau métier et le temps plein archi plein assorti m'avaient grillé la mémoire de juste avant -). 

Je suis toujours émue de retomber sur des photos ratées, ou plutôt dont plusieurs années plus tard, l'intention m'échappe.

Ainsi le 4 février 2019 à 19:40 j'ai pris cette photo à La Libreria. Je suppose que j'y étais pour une rencontre littéraire. Qu'avais-je voulu cadrer ?

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De certaines journées il ne reste rien ou si peu : en dehors de photos qui sont des prises de notes. Par exemple le 6 février 2019, une photo d'un feu de guingois prise sans doute à la pause déjeuner, vers 15:00

 

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et une autre prise vers 23:30 sans doute en rentrant de la librairie l'Astrée, où je suppose qu'il y avait une soirée.

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C'était le chantier du Tribunal, on dirait.

De nombreuses journées s'écoulent ainsi, sans laisser davantage de traces, que ce que l'on peut écrire ou photographier du quotidien. Si on travaille, elles servent au moins à rapporter de quoi gagner notre pain, ça n'est donc pas totalement vain. Mais néanmoins un peu triste.

Je devais être si fatiguée à l'époque que je n'avais pas "développé" ces photos, restées sur mon téléfonino sans être transmises.

Le 8 février 2019, je travaillais aux oiseaux rares, et qu'elle était jolie (l'est toujours, mais je n'y suis plus), cette librairie.

20190208_162604Cette photo était restée dans le téléphone, je ne crois pas l'avoir déjà revue.

En date du 9 février 2019, je trouve une nouvelle photo qui était restée dans le téléphone, alors que les autres du même moment avaient été transférées sur l'ordi. Il s'agissait d'une soirée de masterclass au concervatoire de Clichy et le pianiste était passionnant.

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Le 10 février 2019, nous avions participé au Maxicross de Bouffémont.

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Début 2019 j'ai un projet professionnel et de saines lectures

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Le 12 février je suis allée écouter Mathias à la BNF. C'était bien.
C'était bien de ne pas devoir chaque jour travailler pour un employeur et d'avoir du temps pour développer des projets personnels. Je suis épatée d'avoir été assez en forme pour une journée que les photos témoignent active alors que seulement 48 heures s'étaient écoulées depuis le maxi-trail de 26 km.

Je retrouve des photos de concerts dont je me souviens bien mais qui datant de seulement 3 ans du simple fait de s'être déroulés avant la pandémie semblent d'il y a très longtemps.

Le 17 février 2019, avant d'aller suivre une formation aux premiers gestes de secours, je prends en photo un balcon joyeux du linge qui y sèche.

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Depuis l'ouverture du Tribunal, le quartier a changé et la photo suivante, anodine lorsque je l'ai prise, témoigne désormais d'un avant : 

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Ce qui n'a pas changé c'est que la piste cyclable que l'on ne voit même pas, au premier plan, servait déjà et sert toujours de parking. Je crois que depuis le début je n'ai plus l'emprunter que 8 fois (alors que j'y passe fréquemment), 10 maximum.

 

Je retrouve des images d'un Paris ancien, alors persistant, qui a peut-être lui aussi, changé.

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Nous avions fait un saut en Normandie aussi, sans doute pour une raison précise, vu sa brièveté. La tombe des arrières-grands parents a bien été restaurée.