Soirées de sommeil

    Les congés approchent pour lesquels nous n'avons rien programmé de précis - peut-être simplement nous reposer à la maison, et s'occuper du logis qui en a grand besoin urgent -. Ils ne seront pas un luxe. Depuis plusieurs semaines, je tombe littéralement de sommeil dès que j'ai terminé deux ou trois choses qu'il faut bien faire (manger, se laver, faire des lessives, la vaisselle, répondre aux requêtes administratives ...). 

Souvent je regarde du sport, j'ai ainsi suivi le Giro et pour partie Roland Garros ; mais n'y parviens pas toujours : ainsi l'Euro de football se déroule sans moi, une sorte de sortilège faisant que je me trouve toujours prise par autre chose lorsque je me dis, Tiens si je regardais le match.

Ce soir, il y a eu un orage de grêle impressionnant à Villeurbanne.

J'ai reçu une chouette dédicace sur un livre du Tour de France, et qui m'a fait rigoler. 

L'article consacré à Festina m'a aussi fait rigoler - qu'en termes élégants, ces choses-là ... -. Il n'en reste pas moins qu'à l'époque ça ne rigolait pas. J'avais un peu pitié de ces hommes qu'on avait poussé à se droguer pour les laisser ensuite seuls face à l'opprobre.

En Angleterre, le variant delta créé une nouvelle vague de contamination que les vaccinations atténuent sans l'endiguer. Il se pourrait finalement qu'en France, atteinte déjà dans Les Landes fortement, on n'attende pas l'automne avant cette bouffée-là de l'épidémie. 
J'ai appris en fin de journée, presque par hasard que dans mon environnement professionnel ça n'étaient pas trois mais quatre cas qui avaient eu lieu. Peut-être suis-je plus résistante que je ne l'aurais cru.