Cahier du jour, couvre-feu 3 jour 48 : Tenir bon
Cahier du jour, couvre-feu 3 jour 49 : Ouf, finie ! (cette semaine qui n'en finissait plus)

So long ago : Proust lu

    Je ne me rappelle plus d'où j'avais tenu l'info. Je me souviens seulement que comme pour l'Hôtel des Blogueurs, à peine vue, j'avais bondi pour m'inscrire en mode Quelle idée formidable !

Et puis que ç'avait été une belle rencontre, que même le Fiston encore tout minot s'y était mis, ça l'amusait, et que j'espère bien que passée la pandémie nous nous reverrons ; que Véronique Aubouy fait partie des personnes que j'eusse aimé inviter pour Côté Papier, si, il y a un an, le brutal confinement ne m'avait envoyée vers d'autres horizons, l'éloignement pendant trois mois, puis le travail salarié en gros temps plein et les périodes de contraintes (re-confinement et autres couvres-feu) peu propices à une reprise. En attendant revoir ce document m'émeut, on dirait un temps si lointain.

Je trouve que j'y lis mal, mais il s'agissait d'un passage des carnets, avec des phrases éparses, pas encore de liant ni le méticuleux travail de l'auteur pour y mettre ce qu'il fallait de haute fluidité. C'était à L'Enclos du Temps, café qui depuis a été racheté et est en ces temps particuliers fermé. J'y ai passé bien des heures heureuses, avec mon amie C. ou les blogueuses et blogueurs des Paris Carnets, Satsuki ou Le Fiston.

Ça me fait chaud au cœur que l'ensemble des lectures soit publié peu à peu. C'est par ici et c'est trop bien.

Ce qui est chouette aussi, c'est que ce blog est assez ancien pour que je puisse y retrouver ce que j'en écrivais le jour même. Bloguez le quotidien, un jour ou l'autre, pour vous-même ou pour d'autres, ça devient intéressant et ça fera du bien.

 

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