Vestiaire (cours de danse)
À suivre (quelqu'un qui confie à quelqu'un des cahiers retrouvés)

Jeanne Labrousse et André-Jacques Garnerin

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Journée studieuse de préparation de l'émission du lendemain. 

Mon téléfonino et mon ordinateur sont saturés de photos, j'ai pris du retard dans sauvegardes et tris depuis fin août et mon travail en maison de la presse.

Je profite d'un jour calme pour, pressée par l'urgence d'une mise-à-jour WhatsApp qui ne passe pas pour avancer dans ces tâches.

Au passage retrouve par exemple ce cliché datant du 14 mai 2018 à 19h01 et que l'appareil géolocalise au 6 avenue Ruysdaël dans le VIIIème arrondissement à Paris. 

Au passage, je m'amuse de n'avoir plus aucune idée de ce que je pouvais bien faire à cet endroit ce soir-là. Les photos suivantes et précédentes ne m'éclairent pas. Un retour à pied vers chez moi ?

En revanche je sais que je l'ai prise car ce "premier parachutiste" m'intriguait. 

J'apprends qu'il fut aérostier et effectivement le premier à sauter en quelque chose qui ressemblait à un parachute. Et que ça se passait près du parc Monceau, ce qui fait que le lieu choisi pour une allée à son nom a un sens. La date me laisse tout espantée : 22 octobre 1797, 1er brumaire an VI, j'aurais vraiment cru que c'était bien plus tard que l'on inventa cette curieuse façon de voler. 
L'ironie du sort veut qu'il soit mort dans un banal accident de chantier.

Le plus beau est que son épouse, Jeanne Labrosse, fut elle-même la première femme a sauter en parachute. Je n'ose imaginer les oppositions auxquelles elle aura dû faire face. 

Je manque de temps ce soir (l'émission à préparer, voir ci-dessus), il n'empêche que dès que je le pourrais je tenterais d'en apprendre davantage sur ce que fut sa vie.

 

page wikipédia d'André-Jacques Garnerin
page wikipédia de Jeanne Labrosse

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