Photos éparses
30 avril 2019
À force de cavaler, au sens propre et figuré, j'ai négligé de faire le ménage, et dans l'appartement et dans les mémoires électroniques de mon ordinateur et de mon téléfonino, voilà que tout est saturé et que les mises-à-jour ne peuvent s'effectuer.
Me voilà contrainte aujourd'hui à une sorte d'arrêt au stand, tris, copies, suppressions, de photos principalement, afin de pouvoir ensuite redémarrer.
À l'ordinaire, si quelque chose chez moi est bien classé, ce sont les photos. Répertoires par mois de prises de vue et double sauvegarde voire triple avec le Time Machine.
Seulement voilà, il y a toujours quelques images qui pour des raisons que j'ignore, probablement des interruptions de connexion en cours de transmission, à moins que quelque cliquer-glisser hasardeux, se retrouvent dans des dossiers inattendus.
Le ménage de ce jour m'a donc permis de glaner dix images, l'une d'elle datant de février 2016, la Seine en crue à l'Île de la Jatte, la plupart de 2018 : fête de la musique à Levallois avec Klosman aux manettes - dont l'une assez étrange -, quelques-unes d'un dépannage à la volée sur les Champs-Élysées lors de la dernière étape du Tour de France vue des fenêtres la Maison du Danemark, un éclat de soleil sur trois arbres de la forêt de Saint Germain en Laye et un portrait de moi lors d'une rencontre que j'animais en janvier 2018 à la librairie Charybde où je travaillais.
J'aime bien cette sorte d'aléa qui me fait retrouver quelques bribes, principalement de l'an passé qui me paraît si loin déjà tant l'année a été bien remplie et tant ça continue à fond les manettes.
Tant que la santé suit, on ne s'en plaindra pas, mais jeter un œil en arrière est assez vertigineux - hein ? quoi ? j'ai grimpé tout ça ? -.
J'en ai fait une sorte de mini album.