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Les suites de l'incendie de Notre-Dame parfaitement résumées

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... par Alice sur son blog (le billet est plus long que l'illustration que j'en partage ici). Je partage sa sidération pour la virulence des déchaînements, sachant que dans l'ensemble et globalement nous nous sentons toutes et tous bouleversés.

 

Il y avait un bel élan toutes tendances confondues pour être soulagés qu'il n'y ait pas de victimes (1) et vouloir que l'on rebâtisse. 

Et aussitôt, ça s'est déchaîné pour se fritter. 

J'étais récemment à un repas où une jeune femme (c'était avant l'incendie) expliquait sa stupeur quant à ce comportement des français : passer une soirée à presque en venir aux mains sur un ou deux sujets et puis le dîner est presque fini, quelqu'un se lève et propose courtoisement, café ou tisane ou pousse-café et tout le monde redevient les meilleurs amis. 

Nous venons de donner à l'échelle d'une nation un fabuleux exemple de cette capacité à s'engueuler violemment alors que sur l'essentiel nous sommes d'accord, et malgré nos divergences partageons la même émotion.   

 

(1) Les alarmes à incendie ont si bien fonctionné qu'il n'y avait aucun signe ni odeur à telle enseigne que l'organiste et un prêtre une fois l'évacuation des passants et fidèles effectuée étaient rentrés chez eux persuadés d'un exercice ou d'un dysfonctionnement. [lu dans un article de Ouest France]

PS' : J'aime beaucoup ce qu'Alice écrit aussi du jour même. Comme elle s'apprêtait à subir une intervention chirurgicale, le décalage entre la pression de nos vies quotidiennes et cette catastrophe est chez elle encore plus saisissant. 

PS'' : Lu chez David Madore, qui fait partie des personnes qui savent exprimer les choses avec une clarté qui me donne l'impression d'être plus intelligente que moi : 

Petites pensées rapides sur l'incendie de Notre-Dame


l'heure ni le temps (La ville ne donne plus)

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Depuis un moment déjà, la ville ne donne plus l'heure : les horodateurs ont été partout remplacés par de nouveaux modèles où elle ne s'affiche pas. Je m'en servais beaucoup, surtout l'hiver lorsque regarder l'heure à sa montre implique de soulever une manche ou deux et repousser le bord d'un gant ; je m'en servais lorsque filant attraper un RER ou un train ou suivre un entraînement, je souhaitais savoir s'il m'était nécessaire ou non de hâter le pas.  

Restait porte de Clichy ce grand panneau publicitaire qui à sa marge donnait en alternance l'heure ou la température. C'était particulièrement utile lorsque l'on marchait de Clichy vers le RER C : savoir s'il fallait se mettre à courir (il n'y en a pas tant, des RER et lorsque je travaillais Au Connétable à Montmorency, il convenait que je ne rate pas à Ermont l'unique bus d'une heure dite) ou non. 

Et j'aimais bien, au soir en rentrant, confirmer ou infirmer ma sensation de chaud ou de froid, surtout depuis le 7 janvier 2015 et que j'en souffrais moins, du froid. C'était mon piètre et seul réconfort de ces moments d'après ce jour-là, me dire Tiens, il fait 2°c et je n'ai pas mal, ou encore Tiens il fait 6°c et je me passe de gants. 

Depuis un long moment ce panneau avait été désactivé. Depuis quelques mois il est remplacé par une publicité pour un site de conseils juridiques au nom agressif. Pour le passant, plus la moindre information d'usage immédiat. 

C'est curieux d'à quel point cela semble conforter la sensation que la société entière va dans le sens d'une perte accélérée de ce qui est libre, gratuit et utile au bien commun. 

Merci à l'annonceur qui pendant de longues années avait rendu sa réclame citoyenne. 

 


Souvenir de course

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La photo m'a été transmise par Estelle de mon club de triathlon (mais comme elle participait à la même épreuve ça n'est sans doute pas elle qui l'a prise ou alors j'étais tellement à la bourre qu'elle avait eu le temps de se mettre en place pour encourager ?).

C'était dimanche 21 avril 2019 à Saint Tropez pour un triathlon de taille S (700 m nage 20 km vélo 5 km CAP), par une météo peu favorable, gris avec par moment quelques gouttes de pluie et surtout de fortes rafales de vent. Mer relativement calme, pas de vagues déchaînées. 

J'ai mis un temps fou pour le faire 2h27, ratant le début de la natation, saisie par le froid jusqu'à la première bouée (eau à 14°c et je crois que mon cerveau c'était dit, C'est le sud ça doit être moins froid que ma Normandie), et ratant complètement le vélo, incapable entre le vent et la circulation et le fait que j'étais mal à l'aise sur les cales, d'atteindre ma vitesse de croisière, y compris en descente (je freinais par crainte d'être déportée sous le coup des rafales). Une CAP sur 5 km ensuite sans problème, en un temps certes long (35mn) mais honorable pour moi.

C'est rigolo, je finis 2ème de ma catégorie, podium (!) ... mais parce que nous étions deux. 

PS : En cinquante ans j'ai fait quelques progrès, en tout cas pour l'équipement  F1000006

 

Lire la suite "Souvenir de course " »


Photos éparses

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    À force de cavaler, au sens propre et figuré, j'ai négligé de faire le ménage, et dans l'appartement et dans les mémoires électroniques de mon ordinateur et de mon téléfonino, voilà que tout est saturé et que les mises-à-jour ne peuvent s'effectuer.

Me voilà contrainte aujourd'hui à une sorte d'arrêt au stand, tris, copies, suppressions, de photos principalement, afin de pouvoir ensuite redémarrer.

À l'ordinaire, si quelque chose chez moi est bien classé, ce sont les photos. Répertoires par mois de prises de vue et double sauvegarde voire triple avec le Time Machine.

Seulement voilà, il y a toujours quelques images qui pour des raisons que j'ignore, probablement des interruptions de connexion en cours de transmission, à moins que quelque cliquer-glisser hasardeux, se retrouvent dans des dossiers inattendus. 

Le ménage de ce jour m'a donc permis de glaner dix images, l'une d'elle datant de février 2016, la Seine en crue à l'Île de la Jatte, la plupart de 2018 : fête de la musique à Levallois avec Klosman aux manettes - dont l'une assez étrange -, quelques-unes d'un dépannage à la volée sur les Champs-Élysées lors de la dernière étape du Tour de France vue des fenêtres la Maison du Danemark, un éclat de soleil sur trois arbres de la forêt de Saint Germain en Laye et un portrait de moi lors d'une rencontre que j'animais en janvier 2018 à la librairie Charybde où je travaillais. DSC00668

 

 

J'aime bien cette sorte d'aléa qui me fait retrouver quelques bribes, principalement de l'an passé qui me paraît si loin déjà tant l'année a été bien remplie et tant ça continue à fond les manettes. 

Tant que la santé suit, on ne s'en plaindra pas, mais jeter un œil en arrière est assez vertigineux - hein ? quoi ? j'ai grimpé tout ça ? -.

J'en ai fait une sorte de mini album


Le résumé de ma journée

7:00 à 8:00 natation (montre 1850 m) 1300 
200 cr (made 100)
100 br
200 pull 5t
100 dos
3 x (3 x 150) progressifs cr 1 lent 1 moyen 1 vite r=15' (made probably 2 x 150 + 2 x 50)
500 pull plq (made 400)
100 souple (pas eu le temps)

9:30 à 12:00 vélo
18,01 km/h de moyenne (vent ; essais de cales ; piste cyclable fréquentée)

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15:00 à 16:30 natation en mer avec vagues : pas mesuré mais environ 400 m

17:00 à 17:37 CAP dans le camping 
3,92 km à 9,31 min/km (en faisant un premier tour le long des bordures d'où qu'un tantinet trail)
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  18h30 à 19h10 stretching près de la piscine 

 

La sortie vélo fut un échec sportif mais une réussite touristique. Fatiguée de composer avec ce vent à la fois fort, et avec des rafales violentes et tournantes, je ne suis contentée de suivre la piste cyclable jusqu'à Saint-Tropez ; dans l'idée d'aller prendre un café sur le port : mais non, ce sont des restaurants ; au retour avec grâce à Julia, de mon club de triathlon, qui en avait parlé, une escale à la cité lacustre s'est imposée d'elle-même. Très beau et bien plus accueillant que les apparences et l'ambiance de la région ne le laissait supposer. 

 

 

La natation en mer, au vu de la mer déchaînée et du vent scatenato, je n'y croyais pas. Et puis finalement en n'étant pas seule, bien accompagnée par les camarades j'ai réussi sans problème à nager dans cette mer assez secouante (mais pas si froide, surtout par rapport à la veille)

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Je n'étais pas peu fière et suis sortie de l'eau toute ragaillardie. 

Il faisait frisquet et très venteux, nous sommes remontés en combi, c'était amusant. 

J'ai fait ma mini séance de CAP avec la trifonction que j'avais déjà dessous. Elle a séché sur moi.

Après avoir ainsi nagé en me mesurant aux vagues, je m'étais en effet sentie prête pour finir en courant dans le camp dont j'ai fait le tour comme Le Prisonnier (de la série) cherchant à tâter des limites. 23 minutes m'ont été nécessaire pour boucler la boucle. 

Les étirements firent du bien : sans la danse, je me coince.

La météo du lendemain et du surlendemain vue pendant le dîner sur un écran où défilent les infos, nous a déclenché un fou-rire : il fera beau et chaud partout en France sauf là où nous sommes.  

Je n'en doutais pas mais pour l'instant et en l'absence de chutes (malgré les efforts du vent), ce stage vaut vraiment la peine

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Malgré un vent dangereux pour le vélo, du bonheur

Le tri tropézien, distance S (Sprint), 800 m natation, 40 km vélo, 5 km course à pied. 

Et malgré une infâme bouillasse au départ de la nat et d'en avoir bavé sur le vélo, et d'avoir oncque mis un temps fou, un grand bonheur à l'arrivée. L'organisation était à la fois efficace et sympa ce qui n'est pas évident. 

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Go ahead


    Ce soir le #JukeBoxFou de dedans ma tête me passait inlassablement ce vieux succès de Van Halen. 

Go ahead and jump ! 

Je crois qu'il était tout simplement en train de me résumer ma journée, du moins pour ce qui est de cette phrase (1). Quoiqu'il eût pu choisir It's been a hard day's night.

Entre rendez-vous téléphonique de logiciel informatique pour la librairie, émission de radio (finir de la préparer, puis la délivrer), achat express d'une combi de rechange et de deux ou trois accessoires encore manquants pour le stage, mails à Pôle Emploi, réponse à d'autres messages professionnels, bagages session 1 (le vélo et ce qui part dans un sac dans le camion), apporter le vélo et le sac de sport au camion et aider au chargement, bagages session 2 (la valise d'effets perso), s'occuper de lessives, et boucler la journée ici, ce fut non-stop de 7h à 1h de passé minuit. 

Le réveil promet rude. Le train est à l'aube.

Et voici que tonne un orage. 
Ma vie d'en ce moment va un peu vite pour moi et sur trop de fronts. Mais bon sang qu'elle est stimulante, plutôt belle, allant vers l'avant et sans le moindre ennui ! 

 

(1) et non de l'ensemble de la chanson.


Lendemain d'incendie [Notre Dame]

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Cette photo a été prise par Brooke Windsor, juste avant l'incendie et elle tente de retrouver les deux personnes qui figurent si joyeusement au premier plan.

Impressionnant témoignage de l'organiste qui accompagnait une messe au moment où sans autre signe particulier une première alarme s'est déclenchée. À telle enseigne qu'une fois les visiteurs et les fidèles évacués le prêtre et lui ont quitté les lieux en restant persuadés qu'il s'agissait d'un dysfonctionnement [article paru dans Ouest France].

Bel article dans Le Monde détaillant le travail des pompiers.

Belles explications de Clément Saviani (dont j'avais suivi la veille au soir avec grand intérêt les touites sous son pseudo Truelle) au sujet de l'état des lieux et des apparences potentiellement trompeuses 

Bel hommage en français d'un candidat démocrate à l'investiture pour les présidentielles, Pete Buttigieg. Barack Obama, classe, as ever. On a beau savoir que c'est un exercice obligé, on ne peut s'empêcher d'y croire un tantinet. 

Un peu d'humour a d'ailleurs commencé à faire sa réapparition, plus particulièrement en réplique à des touites quasi promotionnels d'hommes politiques (typiquement, celui-ci)

Une intéressante conversation entre deux amis sur la défiscalisation assez importante des dons. Dans ma tête les deux voix co-existent et je ne sais que penser. 

 

Pour ma part, j'ai passé la journée totalement à côté de mes pompes, je ne sais pas le dire autrement, in a daze, la tête ailleurs et un sourd chagrin. Des larmes à refouler. 

Bien sûr, ça n'est pas aussi douloureux que lorsque des vies ont été brisées, seulement il y a réellement quelque chose qui usine intérieurement et qui tient du deuil. 

Je n'ai pas pu travailler à mon projet professionnel comme je le souhaitais. 

Un des trajets que je devais faire m'a amenée, parce que j'avais pris le bus 21 à la suite d'un appel téléphonique (1), à passer devant la cathédrale. 

C'était globalement une drôle d'ambiance ce jour, dans tout Paris. Les gens blafards, si ce n'était de chagrin, au moins d'avoir veillé tard. Des conversations tenues à voix basse. Les seuls que j'ai vus jouer, parler un peu fort, étaient des enfants.

Et dans le bus aux abords de la cathédrale les personnes qui se parlaient, entre autre juste devant moi une mamma africaine et un vieux monsieur des beaux quartiers. 

La zone autour de l'église était largement bouclée, les entrées possibles mais filtrées, puisque des personnes devaient pouvoir accéder à leur lieu de travail, il fallait quand même qu'elles puissent passer. Un café avait la particularité de n'avoir plus qu'une de ses terrasses accessible par la rue, et l'autre uniquement par l'intérieur de l'établissement. Du coup ça donnait lieu à quelques gestes d'échange

Sur les ponts une foule assez nombreuse quoi que fluide. 

Un homme de télévision, cathédrale bien cadrée en fond, présentait un direct. Les passants se tenaient à distance respectable, au lieu des habituelles tentatives de photobomber ce genre de captation. 

Et puis le plus important : les pompiers sont vraiment parvenus, du moins en apparence, à préserver une grande partie du bâtiment, la façade avant, ses deux tours, la grande rosace. 

L'étonnant : la façade telle qu'en son récent ravalement, pas même de traces (du moins visible d'un bus) de noircissement. Quel soulagement ! 

L'étrange : c'est de côté (et sans aucun doute vu de l'arrière mais je n'y passai pas) qu'on se rendait compte que ... hé bien, le vide. et une structure d'échafaudages pas tout à fait d'équerre. Ce qui fait que Notre Dame ressemblait un peu à un décor de western : les façades des saloons, et derrière des étais

Même si je suppose qu'une partie des pierres ou du mortier ne saurait plus soutenir quoi que ce soit, fors à représenter un danger, c'était un grand soulagement de voir l'édifice encore tel qu'en lui-même du moins pour grande partie. 

J'ai repris un peu d'énergie. Mais guère d'efficacité. La tête ailleurs, profondément. D'expérience (!), en quelques jours, ça devrait passer. 

Il faudra du temps, longtemps, pour reconstruire (2). 

 

(1) Je veux dire que comme je téléphonais, j'ai marché au lieu de prendre le RER à Port Royal où je me trouvais et que du coup le plus simple après avoir raccroché était de rejoindre Satin Lazare en bus.

(2) J'ai appris grâce à Tarvalanion que dans le cas de tels monuments, c'est l'État son propre assureur. D'où les souscriptions pour la reconstruction.

 


Notre-Dame en feu, comment on l'a appris

 

    C'était une journée chargée, et j'aurais dû travailler à l'avancement de mon projet l'après-midi et la soirée. 

En rentrant d'un rendez-vous professionnel j'étais passée sur la tombe de Verlaine, comme je le fais souvent lorsque j'ai à penser. 

Alors que je rentrais courage revenu, j'ai eu un grand épuisement. Ça m'arrive parfois avant une tempête. J'ai dû me coucher, ai pensé lire, ai dormi de ces endormissements qui ressemblent à une perte de connaissance, je me sentais mal. 

Et puis voilà que peu avant l'heure du retour de l'homme, au quasi même moment une amie qui rentrait juste d'une thalasso m'a appelée au sujet d'un message d'un camarade commun qu'elle avait malencontreusement effacé, et donc je suis allée vers l'ordi afin de tenter de joindre par mail ce dernier. et Le Fiston est passé en disant La cathédrale brûle, la cathédrale brûle et au début j'ai cru que c'était dans son game, je me suis même demandée quel était ce jeu qui semblait consister à avoir des villes ou des villages.

Je ne me suis pas posé la question longtemps. 

La soirée s'est ensuite passée sur Twitter entre fils infos et échanges avec les ami·e·s. Entre pleurs et sidération. 

Vers 23h la nouvelle est tombée via des médias confirmés (Le Monde entre autre) que les pompiers considéraient même s'ils avaient encore devant eux une nuit de travail, que la structure et les deux beffrois étaient sauvés. 


Une dame âgée

 

    Entre deux rendez-vous concernant le projet professionnel qui m'occupe actuellement, et comme j'étais gare Satin Lazare, je suis passée aux toilettes publiques car c'était nécessaire et que je préférais éviter d'aller au café. 

Elles sont chères (0,80 € la possibilité du pipi) mais très propres, spacieuses et d'habitude on n'attend pas. Il se trouve qu'à ce moment précis, il y avait un peu d'attente. Ce qui m'a permis de remarquer que la personne qui nettoyait quasiment entre chaque passage, et se soutenait d'une main aux lavabos dès qu'elle pouvait s'arrêter, était une dame âgée. 

J'ai eu beau me dire que j'étais encore en train de me faire le coup d'oublier mon propre vieillissement et ma propre apparence et que peut-être elle n'avait que quatre à cinq ans de plus de moi, ça m'a vraiment mise mal à l'aise de voir quelqu'un qui semblait avoir l'âge d'être à la retraite et une réelle fatigue physique, devoir encore se coltiner un travail si rude et ingrat. 

Le pire étant que la réforme des retraites qui s'annonce va encore reculer l'âge du départ et que déjà la pénibilité de certains emplois n'est plus reconnue comme elle le fut.

En attendant, les toilettes étaient dans un état de propreté remarquable. Mais pour elle, à quel prix ?