Monday evening
C'est deux jours avant le soir de Noël

Lundi soir (moi aussi)

Le café serré de Thomas Gunzig 211216 (pas trouvé la version "Embed")

À part que je n'étais pas nue, et que je ne rêve pas de belles filles dans un jacuzzi (1), que je n'étais pas tout à fait à deux doigts du bonheur (cf. (3) et (4) et l'absence de (1)) et que je n'ai pas consulté les infos une fois au lit avant de m'endormir [pas folle la guêpe, disait-on dans le temps], mais bêtement en allumant l'ordi histoire de me détendre en rentrant du boulot de l'hosto (3). Voilà ça m'a fait pareil que lui. Et dans le même ordre. Et au bout du compte avec la même envie. De repli. Comme un réflexe de survie. 

Le boulot, intense ces jours-ci, et de ceux où l'on est requis - pas moyen de s'isoler perdu dans ses pensées -, fait office de bouclier. Et les spaghetti, c'est moi qui ce soir les ai mangés. Mais voilà, on en est là.

PS : Au passage, j'ai apprécié sur la page concernée, section "détails", l'humour du résumé

Capture d’écran 2016-12-21 à 21.27.31L'humour, ce qui nous reste encore parfois, quand tout est désespéré.

 

 

(1) Mais d'un beau garçon dans la piscine de mes rêves (2) à Bruxelles, pourquoi pas ?
(2) Sauf que j'apprends en cherchant une image qu'elle est devenue un peu moins de mes rêves depuis trois ans, ils ont profité que je ne venais plus ;-) pour lui ôter son élégant plafond et refaire les cabines (leur côté "à l'ancienne" participait de son charme fou). J'apprends au passage que ledit plafond avait tendance à tomber ; peut-être que je risquais ma vie lorsque j'y allais. On est peu de chose. 
(3) Pas pour moi, visite. Mais c'est sans espoir sur l'issue.
(4) L'affaire de la fuite d'eau invisible qui en raison d'une fixation obsessionnelle infantile de l'homme de la maison et d'un manque de transmission d'informations à notre égard, n'en finit plus et risque de nous coûter un fric fou qu'on n'a pas.

 

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