Analogos disparu
28 mars 2016
C'est un touite de Christophe Sanchez que je vois passer alors que j'étais en train de me préoccuper de mon moyen de locomotion pour aller à mon bientôt nouveau travail, je me dis que j'ai dû mal comprendre, puis j'en lis confirmation chez Daniel Bourrion. Ainsi qu'une trace qui semble indiquer que ça fait quatorze jours que tout était terminé.
Préoccupée par ce qui s'est passé à Bruxelles, accaparée par mes préparatifs de nouvelle vie - du travail, très bientôt, mais hors de Paris, tant de choses à régler avant -, je n'avais pas même eu le temps de me dire Tiens, depuis quelques temps il est bien silencieux.
Tout récemment, encore ces mots :
. Je n'étais pas intime tout au plus amie d'ami-e-s et lectrice tranquille de partages sur l'internet accessible.
Il n'empêche.
Quel vide soudain (1).
(1) D'autant plus que je m'aperçois que comme une idiote j'avais lu (chez Brigetoun) sans comprendre, focalisée sur "Bruxelles", peut-être ailleurs aussi, mais sans que le cerveau n'enclenche. Il y est vrai que je n'ai vu de mots nulle part qu'en dehors du cercle d'amis, ce qui me paraît si étrange compte tenu de la qualité de ses écrits. Le monde d'aujourd'hui, méconnaît la poésie.
addenda du 29/03/15 : chez Brigetoun ce beau billet (avec quelques extraits)