Previous month:
février 2016
Next month:
avril 2016

0 billets

BDJ - 160222 - Un concert pour le "Janine" d'Olivier (et par ailleurs un emploi possible)


P2222292(bonheur du lundi 22 février 2016) 

Double bonheur du jour en ce lundi d'hiver aux températures de printemps (1), impossible tant ils concernent des domaines différents de les départager.

- Il y eut cet entretien dans un collège de ma ville, contrat relativement précaire et aidé, l'établissement n'a pas d'argent, salaire minimal. Mais l'équipe principale + CPE (on dit comme ça ?) me plait, ils sont près à tous les aménagements possibles pour me permettre de poursuivre ma rechercher en librairie et ils cherchent une aide-documentaliste qui soit surtout une belle présence auprès des mômes, ceux qui aiment lire comme ceux qui n'aiment pas et n'ait pas peur et que ça se passe bien. Je ne leur cache pas que j'ai une piste des plus sérieuse. D'un point de vue citoyen et militant, leur proposition me tente beaucoup. Mais I.V. me souffle que je pourrais en faire tout autant ultérieurement et même davantage en tant qu'écrivain et j'ai déjà en tête la librairie de Montmorency. Libraire est mon métier, c'est plus qu'un gagne-pain. Il n'empêche que rencontrer ces deux personnes, encore et malgré toute une société qui souhaite que les enfants "des quartiers" y demeurent adultes, motivés et près à se donner de la peine et faire de leur mieux, m'a redonner courage à en pleurer. C'est de la guérilla pour sauver chaque enfant.

- Il y eut au soir au Pop-In une soirée organisée par Inculte dernière marge en l'honneur du "Janine" d'Olivier Hodasava. J'y retrouve tant d'amis. J. m'offre un SP ce qui est si précieux en ces temps de disette (2). Je fais connaissance avec la fille encore petite de A. et comme à chaque fois que je rencontre des enfants prometteurs je me surprends à y croire encore, à l'avenir de cette humanité au fonctionnement si périlleux pour son hébergeuse, et si imparfait.
Le concert avec un ancien de l'ancien groupe WC3 est inattendu est si bien, que j'oublie un temps les deuils et les tracas. Puis je (re)deviens photographe et c'est ma place au monde. Pour le plaisir. Comme ça. Il est rouge ce soir-là. Mais ça va.

 

 

(1) En fait ce fut mars qui afficha les températures hivernales, comme s'il y avait un contrat à honorer sur l'ensemble d'une année.

(2) En mars j'ai un peu craqué mais en février, zéro achat (et donc zéro achat de livres) je m'y suis presque tenue.

billet publié dans le cadre des Bonheurs du Jour.
C'est l'amie Kozlika qui a lancé le mouvement et le lien vers tous les bonheurs (pour s'inscrire c'est par ici- grand merci àTomek "qui s'est chargé du boulot -) 

Chez Couac hélas pas de bonheur 39

Billet commun avec Bella Cosa 


Quand l'inélégance sonne comme un aveu

 

    Comme bien d'autres blogueuses et touiteuses, Manuela Wyler s'était émue en mai 2015 du "marketing rose", dont il est question plus énergiquement depuis l'automne : un certain nombre d'associations et d'organisations se sont saisies de l'engouement pour la course à pied et du prétexte plus particulier de la collecte de fond pour lutter contre le cancer du sein, afin de faire quelques profits sous couvert de bienfaisance. Elles reversent certes des sommes parfois conséquentes à la cause soutenue mais qui dans certains cas se révèlent faibles en pourcentage des dons récoltés.

J'avoue pour ma part être toujours mal à l'aise lorsque des événements sont censés récolter des fonds pour des causes que nos impôts devraient servir à financer, et être très réticente face au mélange des genres : lorsque des entreprises s'appuient sur une part de bénévolat (au prétexte qu'il s'agit de quelque chose auquel chacun est heureux de participer ou que la cause est généreuse) tandis que certains dans l'affaire sont dûment rémunérés, en tirent un emploi ou des contrats pour leur société. 

Après, comme bien des petites gens de bonne composition, il m'arrive de participer à des courses, depuis plusieurs années je participe avec bonheur à Odyssea, heureuse que cette course existe, et plus d'une fois dans différents domaines, j'ai été parmi les bénévoles de service et malgré tout contente de contribuer à quelque chose qui semblait quand même bien, au moins dans l'intention. Dans ces cas-là ne sommes-nous pas un peu complices ? Je me pose des questions.

Manuela Wyler, elle, a pris le temps de se renseigner plus précisément, et s'est penchée sur le cas d'une association de sa région. 

Laquelle, s'estimant diffamée (c'est son droit), avait peut-être d'autres moyens de réagir que de porter plainte contre la blogueuse. C'est déjà assez inélégant en soi, d'autant plus que le billet ne profère pas d'insultes, il atteste de doutes et d'une exaspération ; et surtout susceptible d'engendrer un bel effet Streisand

Quand en plus il s'agit de quelqu'un de malade - son blog est essentiellement sur le quotidien des soins, l'évolution d'une telle maladie, un témoignage très utile aux autres patientes atteintes et aussi à toutes celles qui peuvent être concernés un jour - et qui dans ces certains posts n'a pas caché que l'espérance pour elle se réduisait, ça semble absurde. Et je me surprends, alors comme je l'ai dit que je suis quelqu'un qui participe à certaines courses, et donc censément favorable à ce qu'elles existent, à me poser la question de ce qu'il y aurait donc à cacher de si grave pour s'en prendre à quelqu'un en probable fin de vie.

Après cet article de Renée Greusard pour Rue89-Le Nouvel Observateur et qui me paraît bien documenté, 

Une association anticancer poursuit une blogueuse malade du cancer

il est difficile de ne pas se poser la question.


Cette année-là (2016)


Je suis en train de faire mes travaux de mise en route du matin (maison et écriture) lorsque j'apprends à quelques jours de la mort de Francis Royo et de Jim Harrison, le décès d'Imre Kertész.

2016 est partie pour devenir une année durant laquelle chaque matin on se demandera Qui donc est mort aujourd'hui ? des humains qu'on admirait et aussi : Où ont lieu les attentats du jour ? Au risque d'être considéré comme une vieille nostalgique je crois pouvoir dire qu'on a connu plus riant [comme période].


Not so lonely

" Ve 4-3-2011
Levé à six heures et demie. J'ai été réveillé dans la nuit par une soif que j'étanchais en rêve, sans succès. C'est au deuxième ou troisième verre fictif que j'ai ouvert les yeux et bu pour de bon."

Pierre Bergounioux, carnet de notes 2011-2015 (Verdier p 39)

Quelque chose qui m'arrive fréquemment, et pas seulement pour boire. Mais il l'écrit infiniment mieux de moi. Je me suis sentie soudain beaucoup moins seule. 
(et peut-être sur la bonne voie).

Grande reconnaissance envers celui qui prend la peine d'écrire ces lignes, s'il savait combien elles peuvent aider - cet exemple souriant n'est qu'un bref aperçu -, le courage qu'elles donnent à tous ceux / toutes celles qui se sentent fragiles mais essaient coûte que coûte de continuer.


BDJ - 160221 - La librairie

20160221_105233

(bonheur du dimanche 21 février 2016) J'ai hésité pour le bonheur de ce dimanche de février :

Mais en fait le vrai bonheur fut d'aller à la librairie avec l'homme de la maison, d'y faire connaissance avec un jeune couple formidable (celui que je vais remplacer et sa compagne), avec le mari de ma future employeuse, de regarder Paris vu de là-haut et de me dire que je tenais peut-être enfin à nouveau (1) ma place au monde, une place où je serais utile comme j'aime à être, c'est-à-dire aider les autres, rendre les gens heureux si je peux. J'ai été heureuse de voir les deux hommes parler boulot, et le plus jeune être à la fois un peu triste de quitter et des étoiles plein les yeux quant à sa nouvelle vie potentielle. 

Ce jeune couple m'a fait un bien fou : dans le monde à nouveau dur (j'ai l'impression d'avoir vécu une époque de rêve entre 1965 et 1982 - dès que je réfléchis me reviennent la mémoire de ce qui se passait au Vietnam et au Cambodge et en Chine, ainsi qu'en France aux fermetures de mines, à la sidérurgie, et je me dis que c'est très égoïste de penser ainsi -) des amoureux peuvent encore faire de beaux projets, choisir de se contenter de peu, prendre le risque d'être ailleurs les étrangers.

Le bonheur du jour, c'était ça : un lieu chaleureux, l'amour qui existe encore, et la survivance possible de gens de bonne volonté.
Ça n'est pas rien.

 

(1) Je m'y sentais à Livre Sterling, comme je me suis sentie chez moi à Bruxelles entre août 2008 et juin 2013.

billet publié dans le cadre des Bonheurs du Jour.
C'est l'amie Kozlika qui a lancé le mouvement et le lien vers tous les bonheurs (pour s'inscrire c'est par ici- grand merci àTomek "qui s'est chargé du boulot -) 

Chez Couac hélas pas de bonheur 38

Billet commun avec Bella Cosa 


Le parfum du jour est fraise : ça y est on y est

(traduction littéraire de : "The flavour of the day is strawberry" dans les hauts-parleurs de la petite ville balnéaire faussement paisible de la série prémonitoire "The Prisoner")

P3303038

C'est un article d'Isabelle Barré en première page du Canard Enchaîné de cette semaine (1), qui a faillit me faire recracher mon café ce matin au petit déjeuner : voilà que des villes s'équipent non seulement de caméras de surveillance, non seulement de caméras pour verbaliser (ma propre ville a désormais des "zones de verbalisation" par caméras), mais en plus de hauts parleurs pour interpeler verbalement les gens dans la rue. ("Madame avec le Picasso ! Pourriez-vous garer votre véhicule sans empiéter sur l'arrêt de bus ? Vous risquez d'être verbalisée" est l'exemple cité). 

Le Prisonnier, ça y est, on y est.

#crideffroi 

(J'ose espérer qu'un avocat malin et une ou plusieurs associations parviendront à faire interdire ce procédé au moins au prétexte que c'est discriminatoire pour les personnes qui n'entendent pas ou très mal) (et des riverains que les nuisances sonores dérangeront)

Ça peut sembler dérisoire eût égard aux dangers actuels, il n'empêche qu'en se moment à tous les étages la démocratie, ce qu'il en restait, en prend plein les dents. 

 

(1) Numéro particulièrement édifiant avec en plus des nouvelles internationales croustillantes que l'on sait, des détails sur l'incarcération absurde de Florence Hartmann lanceuse d'alerte au sujet des exactions commises par Radovan Karadzic et ses troupes, et un article de Sorj Chalandon sur le sort d'un ingénieur travaillant pour un prestataire de service pour le compte de Renault et qui est en cours de licenciement pour avoir vanté dans un message personnel écrit de chez lui à des syndicalistes de Renault combien il avait trouvé le film "Merci Patron !" formidable. N'hésitez pas à l'acheter en kiosque. 


Essorés (tous) - Tristesse du jour


    Hier soir, ligne 9, retour de Montreuil et son fabuleux ciné. 

C'est une rame sans cloison, les fameux Bombardier, auxquels il faut reconnaître un certain confort passager puisqu'on peut se glisser vers là où il y a moins de monde même si on n'a pas choisi où monter. Et qu'ils glissent plutôt mieux que les métros d'antan tout en étant mieux insonorisés. En cas d'acte de terrorisme c'est peut-être moins bien, j'aimerais autant qu'on se passe de test en grandeur nature. Et pour ce qui est des nuisances sonores - avant lorsque de mauvais musiciens et chanteurs envahissaient la voiture où l'on était on pouvait en changer, à présent on "profite" du cassage d'oreilles tout du long -, c'est plutôt un accroissement de l'inconfort.

Pour la manche aussi. 

Je suis toujours partagée entre le fait que certains manchards sont peut-être sincères et dans une réelle détresse et mon expérience d'avoir assisté à un débriefing de filoutage, jointe au fait que la plupart du temps je n'ai pas d'argent et que les types se font facilement insultants, et que je supporte mal que l'on m'interrompe quand je lis, pourrais même devenir violente en reflet de la violence ressentie.

Un homme hier soir, monté, je crois, porte de Montreuil, nous la jouait dans l'urgence, il criait sa détresse, arguait de l'existence d'une compagne, clamait sa faim et arpentait la longue rame en s'arrêtant devant des gens. De quoi donner très mauvaise conscience à qui ne donnait rien. Un maximum de pression. Le hic est que je l'ai déjà vu à l'œuvre, ce qui fait de lui un excellent acteur mais un menteur. Son procédé lancé dans l'un des derniers métro du soir n'est pas des plus efficace : la plupart des gens rentrent chez eux, qui après un boulot décalé (ce sont rarement les mieux payés), qui après une sortie (qui les aura rincés - nous avions usé nos dernières pièces dans les places de cinéma, même émus nous n'aurions rien pu faire -). Et le parisien ou proche banlieusard moyen, en admettant qu'il prenne trois à quatre fois le métro par jour aura déjà été sollicité six fois. Même s'il était en fond et généreux, ses poches sont vides à cette heure-là.

Effet de dissuasion des transports post-attentats ou du dernier soir d'un week-end prolongé - les gens ont pu partir, sont peut-être à peine rentrés -, le métro est très clairsemé. Même si chacun donnait quelque chose il y aurait peu de rentabilité.  

Peu après, alors que le crieur repassait dans l'autre sens en gueulant que ça n'était pas possible de ne faire que 3,50 € sur toute une rame, un homme plutôt bien mis dans le genre propre mais usé, s'adressait aux gens personnellement, allant même jusqu'à déranger une jeune femme qui lisait avec musique dans l'oreille, qu'elle dut enlever. Il donnait l'impression de vouloir demander un renseignement, mais c'était lui aussi la manche qu'il faisait. Avec d'autant moins de succès que les mêmes causes produisant les mêmes effets il s'adressait à un groupe que son prédécesseur avait déjà essoré. 

Il y eut cet instant où il se sont croisés, et le gueulard a dit à l'autre, Ils sont nuls dans celle-là, j'ai rien fait. J'ignore si l'autre qui me tournait le dos a répondu doucement ou s'est abstenu mais il est descendu à la station suivante. 
Maudissant le monde entier, celui qui l'avait précédé s'est éloigné vers le fond de la rame et est sans doute ensuite descendu peu après car ce fut le silence, jusqu'à l'arrivée de touristes d'Amérique du Sud, trois personnes jeunes et joyeuses qui semblaient tout ignorer des crises économiques et des attentats récents.

Fin mars 2016. Paris. C'était (aussi) comme ça.

 


Tandis qu'on débat de la "Loi travail" : cher Adrien


Capture d’écran 2016-03-29 à 09.45.12 - Version 2J'ai grossièrement gommé le nom de l'entreprise pour laquelle vous vous présentez sous un prénom humain (1). 

Je ne vous veux en effet pas de mal, vous semblez me vouloir tant de bien. Effectivement, je m'étais inscrite fin janvier sur le site d'offres d'emplois pour lesquels vous annoncez travailler. 
Je ne trouve donc a priori pas illégitime de recevoir des courriers, cherchant un emploi avec énergie, j'étais prête à courir le risque d'être spammée en me disant : Sait-on jamais ? Si par chance une offre sérieuse pouvait se glisser parmi toutes celles que je recevrai.

Jusqu'à présent je n'avais pas à me plaindre de votre site en particulier.

Il se trouve que rien dans mon CV, que j'avais pourtant soigneusement complété, ne me prédispose à devenir agente dans l'immobilier, votre proposition me semble d'un premier abord assez peu adaptée.

Et puis quelque chose me gêne et pas seulement cette fausse familiarité qui vous fait me vouvoyer tout en m'interpelant par mon prénom, il semblerait qu'il s'agisse d'une affiliation plus que d'un emploi, il est fait mention de "Négociateurs indépendants" et d'être entrepreneurs. Pour autant il est préciser qu'il s'agit pour l'entreprise immobilière de "recruter".

J'ai assez parcouru d'annonces chez Pôle Emploi pour avoir compris que de nos jours la pratique est courante : on fait semblant de faire croire aux personnes concernées qu'elles ont trouvé du travail, elles n'ont qu'une porte entrouverte vers quelques ventes à faire, en général en milieu ingrat ou de produits difficiles à placer, et l'entreprise chapeau qui n'est pas un employeur mais présentée comme un partenaire prendra un pourcentage. Aucune garantie de quoi que ce soit. Pour faire chic certaines annonces emploient (cet emploi là ne les engage pas) le mot freelance. Dans la plupart des cas, d'accord peut-être pas tous, il s'agit d'être libres de trimer H24 7/7 pour ne rien toucher ou quelques miettes, à la fin du mois. Pas de congés payés, pas de retraites (déjà qu'à force d'en reculer l'âge elles n'existeront bientôt plus pour grand monde), l'éventualité d'un arrêt maladie je n'ose y songer.

Il n'empêche que de vous j'attendais mieux. Au moins un filtrage d'entre les vraies annonces et les propositions qui ne portent pas sur un contrat de travail. Ce lien de subordination qui s'il est respecté d'un côté comme de l'autre permet de concentrer son énergie sur ce qui est à faire et non sur un combat permanent du salarié pour parvenir à se faire payer et bénéficier d'un temps de récupération physique et mental raisonnable.

Dès lors qu'il ne s'agit pas d'un emploi en bonne et due forme peut-être faudrait-il parler d'affiliation ou d'adhésion. Le terme de recrutement devrait être réservé aux contrats de travail.

Je trouve donc cette prise de contact bien plus décevante que profitable ; mais vous souhaite néanmoins à mon tour une excellente journée.

Gilda 

 

Lire la suite "Tandis qu'on débat de la "Loi travail" : cher Adrien" »


Analogos disparu

 

    C'est un touite de Christophe Sanchez que je vois passer alors que j'étais en train de me préoccuper de mon moyen de locomotion pour aller à mon bientôt nouveau travail, je me dis que j'ai dû mal comprendre, puis j'en lis confirmation chez Daniel Bourrion. Ainsi qu'une trace qui semble indiquer que ça fait quatorze jours que tout était terminé.

Préoccupée par ce qui s'est passé à Bruxelles, accaparée par mes préparatifs de nouvelle vie - du travail, très bientôt, mais hors de Paris, tant de choses à régler avant -, je n'avais pas même eu le temps de me dire Tiens, depuis quelques temps il est bien silencieux.

Tout récemment, encore ces motsCapture d’écran 2016-03-28 à 17.06.45

. Je n'étais pas intime tout au plus amie d'ami-e-s et lectrice tranquille de partages sur l'internet accessible.

Il n'empêche. 

Quel vide soudain (1).

 

 

(1) D'autant plus que je m'aperçois que comme une idiote j'avais lu (chez Brigetoun) sans comprendre, focalisée sur "Bruxelles", peut-être ailleurs aussi, mais sans que le cerveau n'enclenche. Il y est vrai que je n'ai vu de mots nulle part qu'en dehors du cercle d'amis, ce qui me paraît si étrange compte tenu de la qualité de ses écrits. Le monde d'aujourd'hui, méconnaît la poésie.

addenda du 29/03/15 : chez Brigetoun ce beau billet (avec quelques extraits)


En lisant un article sur une tempête de sable à Katmandou

 

    En lisant un article sur une tempête de sable à Katmandou, j'ai entre-aperçu en lisière une photo d'un des "Royals" britanniques. Elle m'a mise comme un doute solide. (et bien un peu drôle)

Capture d’écran 2016-03-28 à 13.40.03

(En même temps une de mes collègues jeunes l'avait vu sur la fin de son étrange passage, et je me dis qu'elle l'aurait reconnu, elle)