Un but atteint (très quotidien)
04 mars 2015
Cela faisait donc un moment que je maugréais après l'absence de possibilité sur le petit téléphone au demeurant remarquable de solidité, de télécharger une appli qui me donnerait l'état des stocks des stations vélibs.
J'ai donc cédé très facilement aux sirènes de mon opérateur qui pour prix de mon réengagement pour deux ans (1), me fournissait un smartphone capable d'accéder à ce genre d'applications.
Tout s'est passé crème, comme dirait #lefiston et très vite j'ai pu faire les réglages nécessaires et disposer non seulement du nouvel appareil mais aussi de ce qui pourrait sembler être un gadget ; mais qui pour une pratiquante des vélos publics comme je le suis permets un formidable gain de temps et d'énergie. J'ai pu ainsi ce soir arrivée à hauteur de l'avant dernière station avant mon domicile apprendre à temps qu'il ne restait plus une seule place de disponible à celle qui lui correspondait et donc déposer sans plus tarder le vélo que j'avais en repartant de l'Attrape-cœurs emprunté. Sans perdre de temps. Sans errer dans la ville avec l'espoir de trouver enfin une place. Tout facile, tutto bene.
Le nouvel appareil me libère de tant de contraintes qu'il m'arrive de penser que les choses en 2013 se seraient sans doute déroulées autrement si j'en avais déjà disposé.
Trop tard, la messe est dite.
Restera ce regret d'avoir été trop peu fortunée à tous les sens du terme. Et de l'avoir cher payé.
Me reste à savourer d'être enfin bien équipée et à vaguement rêver que le nouvel outil me fournira des occasions de quitter enfin ce qui ressemble de plus en plus à une malédiction.
(1) Et d'1 €