Le retour de la chanson qui tue
03 mars 2015
Donc la fiesta karaokante c'était chez les voisins dans la nuit de samedi à dimanche.
Donc la chanson son grand succès, le moment où on l'entendait partout c'était il y a trente-trois ans.
Et bien voilà qu'après l'avoir eu par moment en tête hier, malgré quelques péripéties et un long film avec une B.O. agréable, "Les corons" sont revenus pendant que ce matin je nageais. Alors je sais, il y a pire, mais pour soutenir un rythme sportif, ça ne convient pas tout à fait.
Et impossible de la déloger.
J'ai tenté de contre-attaquer avec Min p'tit Quinquin en vain.
(du coup je l'ai refilée à ma camarade d'entraînement #petitairinnocent )
J'aimerais vraiment comprendre, vu que j'y suis si sensible, comment et pourquoi certains airs collent à l'esprit et pire encore lorsqu'il y a du chant et des paroles, alors que d'autres ne font que passer. Quelle est la partie du cerveau qui se laisse occuper. Pourquoi il est si difficile ensuite de s'en défaire. Pourquoi c'est indépendant du fait d'aimer ou non l'air en question (1).
(1) Pour "Les corons", je ne déteste pas, mais au bout d'un moment c'est lassant. Parfois je suis victime d'anciens airs publicitaires que je ne supporte pas.
pour mémoire (rire sardonique : tu l'écoutes elle te reste)