C'est un bon roman d'espionnage, déjà prometteur
23 avril 2014
Il ne sera pas dit qu'avec la complicité active de mon patron d'alors je n'avais pas soutenu à fond ce jeune auteur alors (1) inconnu.
(1) photo et message du 11/10/2012
PS : Il s'agissait du roman "Les derniers jours de nos pères" (Joël Dicker, donc)
billet également publié sur Il est difficile d'avoir une vie sexuelle quand on tient une librairie
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Je tente en ce moment de reprendre le cours de ma vie en renouant les fils du présent du passé - au passage en sauvegardant, triant puis vidant de la mémoire courante de l'ordi mes photos quotidiennes, c'est qu'elle est saturée (et c'est aussi très utile d'un point de vue strictement pragmatique, rien de nostalgique par là) -. Tout est allé si vite en 2013 de s'effondrer, de basculer pour moi dans une nouvelle période alors que je n'avais rien demandé, que j'avançais enfin d'écrire avec une fausse espérance qu'en tous domaines le pire était pour un temps passé.
En fait il s'était brièvement tapi pour d'autant mieux revenir.
J'ai bien vu arriver la fin du travail (1) en ce printemps dernier, même si j'ai cru encore et encore à force de petits sursis grapillés que l'on s'en sortirait ; je n'ai pas vu venir la fin d'un lien affectif qui tant comptait même s'il demeurait incomplet. Je n'ai pas non plus vu venir (c'est beaucoup moins grave mais très handicapant à l'heure de tenter de sauver sa peau) à quel point notre situation financière familiale malgré le chômage indemnisé allait rapidement se dégrader alors qu'on faisait déjà si attention à peu dépenser.
(1) Celui à la librairie Livre Sterling ; heureusement entre temps j'ai retrouvé à m'embaucher.