« J’avais vingt ans. Je ne laisserai personne dire que c’est le plus bel âge de la vie. »
Attention une mauvaise nouvelle peut en cacher une bonne

Dans la série ces grandes questions existentielles que je me pose parfois

 

En lisant ce touite : 

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je me suis à nouveau demandé pourquoi diable certaines activités semblaient si détendantes ou irrésistibles à la plupart des êtres humains. Comme éclater du papier bulle ou pour les enfants sauter dans une flaque d'eau ou bondir sur un petit muret si possible étroit pour continuer d'avancer plutôt que de rester tranquilles sur un trottoir en bas. 

Les trucs d'enfants je crois vaguement me souvenir que je les ai eus et qu'ils me sont (à peu près) passés quand j'ai atteint un grand format. Je suppose que le coup du muret c'est quand on est petits parce qu'il y a une fierté à pouvoir grimper, mais qu'une fois l'effort à fournir faible on s'en désintéresse.

Mais alors le papier bulle reste un absolu mystère pour moi, de même que l'appétence généralisée pour les frites (qu'est-ce que ça a de si extraordinaire ?) ou les choses aux parfums fraise. Bref un certain nombre de petites éléments quotidiens dont le plaisir qu'elles semblent procurer m'est totalement étranger.

Plus d'une fois j'ai demandé à un(e) perceur/euse de bulles ce qui lui était si gratifiant, mais personne ne sait l'expliquer. 

Je crois que je manque cruellement de petits trucs bêtes qui me feraient du bien. J'ai dû perdre aux années difficiles le plaisir du jeu. 

(billet écrit avec une fièvre de cheval au galop - et d'ailleurs je retourne me coucher)

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