Comment j'ai pu craindre un instant d'avoir changé de sexe mais non j'ai seulement rajeuni
24 novembre 2013
Dans le cadre de mon opération hebdomadaire anti-sunday evening five o'clock blues, entre la cinquième vision de "ma" comédie croate (1) et une soirée télé (2), je parcourais les blogs que je sais amusants et suis, chez Christophe Lhomme arrivée sur ce billet :
Je me suis précipitée pour vérifier que je n'avais pas subi le même sort (2013 a été pour l'instant si peu clémente pour moi, je n'aurais pas été surprise)
Ouf ! Ils se sont contentés de me rajeunir, si tant est qu'on considère que cette appellation ringarde et insupportable (3) est aussi signe d'âge.
(1) Je suis en train de perdre mes derniers grands amis à force de les en gaver, mais voilà j'essaie simplement de ne pas leur faire manquer un chef d'œuvre, un futur film-culte, qu'ils soient fiers ensuite d'avoir été parmi les premiers à pouvoir le faire découvrir à d'autres.
(2) J'en vois qui sursautent, ça fait plus de huit ans que je ne la regarde plus du moins vraiment, mais il s'agit de rendre hommage à Georges Lautner en revoyant ses Tontons Flingueurs.
(3) À moins d'un usage symétrique pour les hommes censé indiquer également leur célibat.