Look at me now, will I ever learn?
16 juillet 2013
Je suis vraiment d'un modèle de femme épatant : le chagrin me fait retourner, tel Adrian Mole, mon petit frère de papier, vers my Abba records and great literature for a solace (1), ce qui fait que qui me l'inflige a toutes les raisons de se dire que d'un être aussi limité il était temps de s'éloigner.
Il n'empêche que je persiste à croire qu'il est moins néfaste à mon organisme d'écouter Abba en boucle que de me lancer dans la consommation de béquilles chimiques qui de toutes façons concernant la peine ne résoudrons rien. Je suis une fois de plus celle de trop, pas assez (2) manipulatrice pour compenser le fait de n'être pas jolie.
En attendant, admirez au moins la chorégraphie (!) et les tenues Incroyables et Merveilleuses (3).
(1) Il faudrait que je retrouve l'exacte citation
(2) en fait pas du tout. Incapacité qui vaut aussi pour la survie professionnelle en entreprise.
(3) Ah oui j'avais promis d'être moins allusive dans les références et autrs clins d'œil et donc voilà