366 - signature
02 avril 2012
J'ignore comment je l'ai senti, parmi tout les livres qu'au salon on nous présentait, que celui-là me plairait. Pourtant doté d'un titre destiné à jouer la carte du marketing le plus primaire (ah ces titres en -tion que "Twilight" a lancés). Pourtant un "gros" polar, à la limite du thriller, genre que je délaisse progressivement, entre autre parce qu'en avoir trop lu a tué le suspens que j'y trouvais et qui est censé faire leur charme -.
Seulement la belle ouvrage, j'y suis toujours sensible et celui-là en est. L'auteur semble mu par quelque chose qui tient de la sincérité. Les blessures de ses personnages on se dit qu'il les a croisées. Pas nécessairement en lui ou tout près mais chez des personnes qu'il a pu fréquenter.
Alors je suis allée ce soir à la signature précédée d'une causerie, à la Maison du Dannemark, de Jussi Adler-Olsen, après avoir lu "Les tueurs de faisans" qui paraîtra le 2 mai dans un titre oubliable.
Mais que j'espère je vendrai.
(Quand bien même l'homme, en remarquable inspecteur Colombo, énergique et séduisant, n'a pas besoin de mes services sur la route des succès).