Ça mange pas de pin
14 février 2012
Ce matin, 6h30 flash d'info sur France Cul
"[...] mais la Grèce a toute l'apparence d'un arbre qui cache la forêt."
L'image qui m'est venue aussitôt (1) m'a empêchée de prêter attention à l'analyse, plutôt subtile semblait-il, qui suivait.
Quand on utilise une expression idiomatique, il faut la laisser en l'état (La Grèce, en ce moment ? C'est l'arbre qui cache la forêt), sinon les mots reprennent une part de leur sens naturel et le résultat est parfois ... comment dire ... distrayant.
(1) D'un pays sous forme de sapin de Noël clignotant, "que j'aimeuh ta ramûûûreu". D'ailleurs il n'y a en l'occurrence pas que bois et guérets qui soient dépouillés de leurs attraits (et du reste aussi).