Du jour au lendemain (Boy, it's been such a goddam book, we all miss you)
Les incompréhensions

The mysterious mister Mistry

Ce soir, in my quiet kitchen

  

J'étais en train de me cramponner pour ne pas désespérer, "le samedi soir quand je peux j'écoute pousser mes cheveux", me dire que la maison en effet collatéral des derniers développements était en train de perdre ses pannes, ce qui me fait marrer en plus de redevenir confortable, quand via Christine Genin, m'est parvenu un lien vers cette vidéo.

Bizarrement, je n'ai pas eu l'ombre d'un doute quant à ce que je voyais, mais quand au fait que ces inventions seraient en open source. Le point "trop beau pour être vrai". Il semblerait cependant bien que même ça soit bien réel. Qu'il existe encore des humains comme ça est un mystère pour moi. À une époque où être partageux est si dépassé que même dans la vie privée avoir ce type d'attitude crée des malentendus, ça me paraît tenir du miracle. Ou bien : ça n'est pas possible, ça ne va pas durer. En attendant et même si demain, je dois une fois de plus être frappée de désillusion, là maintenant, profitons.

  

Pour ce qui est des réflexions subtiles, je laisse les mots à François Bon, et pour la part technique à l'inventeur lui-même.

Et bien sûr des limites au rêve, qu'on peut commencer à pister par là (merci @Padawan pour le lien), mais ce soir je n'en ai pas envie, non, pas.

Stéphanot, tu vois, ton idée de pouvoir s'envoyer par un scanner des objets plats et qu'ils se reconstituent chez l'ami destinataire, on s'en approche pas à pas.

Bon sang, pour la première fois depuis des semaines et des mois, j'ai envie de vivre un peu vieille afin de voir la suite. Et si j'avais 20 ans de moins je me ferais cinéaste pour réaliser le film, loin des canons holly ou bolly-hoodiens.

Thanks mister Mistry.

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