Free the fiction
22 janvier 2010
Certains sujets restent tabous ou considérés comme inabordables au roman, quand il serait grand temps pour des raisons de transmission de la mémoire qu'on passe à la fiction.
Personne ne peut prétendre à l'exclusivité sur un sujet, ni requérir de qui écrit en le prenant pour thème qu'il ait lui-même vécu ce dont il parle.
Personne ne peut prétendre à l'exclusivité sur un sujet, ni requérir de qui écrit en le prenant pour thème qu'il ait lui-même vécu ce dont il parle.
Il serait temps qu'au lieu de s'en prendre aux jeunes auteurs qui se lancent dans un effort de transmission au delà des témoignages, surtout ceux qui le font avec le plus grand respect, on les encourage vivement à poursuivre sous cette forme les travaux de leurs aînés.
Comme il est question de livres et plus particulièrement des "Sentinelles" de Bruno Tessarech et de "Jan Karski" de Yannick Haenel, j'ai déposé mon billet Côté papier :