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Une plage lui est dédiée (déjà)

Aujourd'hui, ailleurs qu'à Paris mais après tout ça aurait pu, il suffit d'un bunker, d'une fortification comme ingrédient

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Il est amusant d'entendre un jeu de mots qu'on attendait depuis 6 mois, qu'il arrive enfin mais que ce soit un(e) enfant qui le fasse et par inadvertance.

Un père pédagogue sur un chemin côtier breton en expliquait ce soir les vestiges à ses enfants, la deuxième guerre, les obus, les canons :

 
- Là-haut il y a un autre bunker avec un canon.

Et l'une des plus petites filles, visiblement désireuse de prouver qu'elle suivait :
- Comme à Obama Beach ?

(pas entendu la suite, occupée que j'étais de m'éloigner à grand pas pour m'en aller rire hors de portée, fière au fond de ne m'être pas trompée (que forcément un jour quelqu'un le dirait) mais désireuse de ne surtout pas me moquer ni en donner l'impression).

[photo : in situ, juste avant]


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Deux reconversions réussies

Satin Malo, hier et aujourd'hui


P5290134 1/ - Isabelle Autissier, mais tu sais, celle qui fait de l'escalade !
(une dame à deux ou trois personnes qui l'accompagnaient et semblaient en attendre une ou deux autres à la sortie du chapiteau où les livres sont vendus). C'était bien sûr proclamé sur le ton de Mais voyons, tout le monde sait ça.

Est-ce cette réflexion ou le seul fait que cette dame m'est spontanément sympathique ?, je me suis laissée aller à acheter sa nouvelle parution, juste parce qu'elle était là et que je passais par là. 

J'ai commencé à le lire, et pour l'instant dans la catégorie "easy reading" (enfin, ce que moi j'y mets, mais qu'étant donné mon snobisme puisqu'il paraît que j'en ai, ça veut peut-être simplement dire que c'est juste pas de la poésie) hé bien quelle bonne surprise.

2/ La seconde reconversion concerne cette photo mais je crois que je l'écrirai demain ou lundi (non, ce l'est pas du teasing, juste de l'épuisement)

[photo : en revenant du Grand Bé, vendredi 29 mai 2009]


le dîner gâché

Ailleurs mais partout, hier soir.

Ils sont touchants si jeunes, en tête à tête à la pizzeria, il lui dit Mon amour par endroit, et tous les deux mangent d'un appétit joyeux d'avant ou juste après l'accord des corps. Encore étudiants ou débutants travailleurs. A cet âge où l'on croît que le boulot mal payé et peu choisi qui occupe nos journées, non, bien sûr c'est juste en attendant - mais en attendant quoi ? - avant plus tard mais trop de comprendre qu'il ne reste que celui-là ou rien ou presque le même.

C'est son anniversaire. A elle. Et son beau-père, j'imagine donc celui du garçon, à moins que le nouvel amant de la mère de l'un ou l'autre, leur a offert le dîner, sans s'y imposer, fort élégamment.

Ceux du restaurant y mettent du leur, et le menu standard leur est amélioré : choisissez votre dessert, prenez comme vous voulez, leur assure la jeune femme, guère plus âgée ni plus jeune qui les sert ce soir-là. Mais c'est plus cher qu'une mousse au chocolat, s'inquiète celle qui a vieilli d'aujourd'hui, C'est pas grave, prenez celui qui vous plaît, répète l'autre, tranquille.

Tout irait pour le mieux.

Mais voilà que le garçon tripote son téléfonino qui peut-être a vibré et c'est lui qui à son tour s'agite. Apparemment des nouvelles de sa mère ou d'un frère et qui bouleversent ses plans pour juillet, rapport à son job entre autre, soit qu'un déplacement familial prévu est annulé soit lui-même déplacé à une date qui ne convient guère au fiancé soudain nerveux. - Je vais les appeler, ce n'est pas possible. Si c'est ça tant pis, je laisse mon boulot. Et il triture le clavier.
L'amoureuse l'interrompt, d'un geste doux du bras, et apaisant.
Attends un peu, tu verras, ne panique pas, on (ou ça ?) s'arrangera ; et l'autre d'approcher l'appareil de son oreille, puis l'éloigner, le reposer, le reprendre, démarrer un texto, s'en déprendre, recomposer un numéro.
Et elle patiente qui ne se fâche pas, attends, lui touche à nouveau le bras lors d'une hésitation et là ça marche, il pose l'appareil et revient vers elle.
Mais on sent bien, maintenant, qu'il n'y est pas, centré sur son propre problème quand c'est elle qu'il devrait fêter.

Je pressens pour elle de longs moments de solitudes, à moins plus tard d'enfants affectueux.
Ce n'est pas le propre des gars, c'est parfois la femme, capricieuse de combat - j'en connais, il y en a - qui joue le rôle de qui ne se soucie pas. Pourquoi faut-il qu'il y en ait toujours un attentif, et l'autre pas ?


L'aération ou Ça pourrait arriver près de chez vous

C'était en 2002 et à Bruxelles, mais je me dis que le Grand Paris pourrait peut-être connaître le même type de mésaventures.

A ceci près sans doute que l'ouvrier réparateur ne vérifierait pas le bon fonctionnement persistant de la chasse d'eau.

Extrait du film "Dans 10 jours ou dans 10 ans..." de Gwenaël Breës,
La scène elle-même a été filmée par Anne Collet (source Dailymotion).

PS : et grâce à Kozlika une version chic et suisse.

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Le banquet d'en bas

Ce soir, côté cour en bas de chez moi et aussi toutes les précédentes années.

 

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Notre immeuble est plutôt convivial, mais depuis plusieurs années ceux qui savaient organiser des festivités ont déménagé. Les autres travaillent trop tard ou trop. D'aucuns s'en foutent. Et j'émerge trop difficilement de mes années sombres pour avoir assez d'énergie sociale afin de coordonner les bonnes volontés.

Alors dans notre cour, ce soir, de fête des voisins, point.

Curieusement, la dernière année où nous avons festoyé doit être celle où Florence Aubenas était en Irak otage. Me flotte un souvenir de m'être dit, présente parmi la petite communauté festive mais n'ayant rien pu cuisiner et absente en pensées, L'an prochain si tout va bien, peut-être que je pourrais préparer un plat, cuire un gâteau et rire au soir le coeur léger.

Si ce qui m'assombrissait alors s'est effectivement résolu pour le mieux, le reste s'est ensuite mis en tempête. L'absence de fête en ces années m'avait alors et sans doute bien arrangée. J'aurais fait bonne figure, j'imagine, pour m'effondrer après.

Ceux qui en revanche ne désarment pas, d'année en année, pour la date officielle et parfois une autre (un anniversaire plus privé ?) ce sont nos voisins d'en bas.

Nous les surplombons sans vraiment les voir. Ce sont les habitants d'une cité ouvrière du XIXème siècle, bien entretenue, devenue recherchée. Autrement dit, pour leur cent-quarantaine d'années les pavillons pour la plupart et depuis réhaussés et restaurés se portent comme un charme (sauf un ou deux un peu penchés).

Elle avait été construite sous l'égide d'une dame patronesse (ou femme d'industriel, pour l'instant je n'ai pas su retrouver l'info), dénommée Thénard ce qui ne s'invente pas et explique sans doute pourquoi elle ne logeait pas sur place (1). Charitable jusqu'au bout à moins que persécutée par une génitrice tyranique (2), elle nomma la cité des noms de sa mère une Madame Renault née Jouffroy.

L'architecte s'appelait Léon Henri Picard dit Hervey Picard j'aimerais bien savoir pourquoi.

Et je pense que tous ceux qui ont participé au chantier qui dura 10 années seraient heureux de voir que les fruits de leur labeur rendent, si longtemps après et 3 guerres sévères plus une révolution avortée, encore joyeux ceux qui y logent. J'écris pour eux ce billet en espérant que l'au-délà en internet soit enfin équipé.

Donc mes voisins d'en bas, que j'entends fréquemment, surtout désormais les jeux des enfants, car la rue, privée et close depuis une dizaine d'années, est à eux aux jours de congés, que j'entends fréquemment mais que je ne connais pas, festoyent.

Il y a parmi eux au moins un accordéoniste de talent, une chanteuse qui se défend et (mais je ne l'ai plus entendu depuis un moment) un guitariste-chanteur au répertoire sympathique (3).

Et ces soirs-là, s'il fait beau, s'il ne pleut pas un déluge, de ma cuisine sérieuse et tout en écrivant ou préparant un bref dîner, je les entends rire, chanter, trinquer, danser probablement.

Les amants de Saint-Jean, une bourrée (4), une Paloma ou Le petit vin blanc (5), plus tard un peu de Big Bazar, ce sont pour moi de bonnes soirées, à s'y enrhumer quand il fait frais (6).

Merci à ces voisins inconnus du banquet d'en bas.

 

(1) Ceci est un jeu de mot foireux sous-jacent, pas une réelle documentation

(2) paix à son âme si tel n'était pas le cas. J'ignore pourquoi j'ai en premier lieu imaginé cela. 

(3) Ah si, ça y est c'est Santillano (mais je ne reconnais pas la voix, serait-ce quelqu'un d'autre)

(4) Note, s'ils lisent, pour mes enfants : il s'agit d'une danse, pas d'une dame qui a trop bu.

(5) Jusqu'à quand le connaîtra-t-on ? J'ai moi-même bien des blancs, aux banquets d'antan je suivais mes aînés quand ils l'entonnaient. Mais à présent ?

(6) Ravie par les échos de la fête, j'en oublie de fermer la fenêtre.

pseudo-touite de 22h22 : Besame mucho ou un petit tango, ça ne serait pas de refus.
pseudo-touite de 22h23 : Tiens, l'Amant est bissé
pseudo-touite de 22h28 : Piaf, moi j'aime bien.
pseudo-touite de 22h38 : L'Auvergnat ne déçoit pas.

PS : Je fais des pseudo-touites c'est pour ne pas concurrencer les vrais de Matoo sur la télé du mardi. ;-)

[photo : ce qu'on en voit]

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La possibilité de l'éventail

hier mais d'autres fois autrefois, et même ailleurs

P5250066_2 Il faisait si bon en ce lundi de mai. Le printemps, voire son été suivant, enfin arrivaient. Et j'étais si heureuse de pouvoir enfin pleinement respirer sans perdre aucune énergie à réchauffer mon corps.

Seulement je sais, oui, j'ai bien intégré que les humains pré-adaptés au réchauffement climatique et dont je fais partie sont en minorité.
J'ai donc rengainé mes soupirs d'aise avec humilité.

De toutes façons, mon bien-être n'aura pas duré. Dés la première soirée de chaud, les clim. mobiles étaient dégainées.
Me plaçant dans une salle comble de manière à les fuir, je n'ai hélas pas tardé à me trouver dûment voisinée d'un homme replet que la douce chaleur incommodait. Et qui n'avait pas compris qu'à prendre le programme et à l'agiter comme un éventail, non seulement il ne rafraîchissait rien mais en plus par l'énergie même du geste il se provoquait encore plus d'échauffement, que par dessus le marché c'est moi qui me gavais l'essentiel de son ridicule mais désagréable courant d'air et que par moment le flip flop de sa feuille, parce qu'en plus il l'agitait, histoire d'avoir encore plus chaud, de manière effrénée, me masquait ce qu'à la conférence/lecture on disait.

Il n'était pas le seul à n'avoir pas réfléchi. Ça flip-floppait de partout. Si au moins ils se fussent munis d'éventails, de vrais, ceux qui bougent en papillons ailés.
Tentée de signaler "Si vous cessiez de vous agiter, ça n'en irait que mieux" mais consciente que personne de l'auguste assemblée ne m'aurait écouté, je me suis sagement tue.

Parfois l'absence de réflexion de mes congénères a du bon et c'est dommage pour la planète me sussure héroïquement un vieux vestige de conscience écologique ; mais j'adore ceux qui en lieux climatisés ont encore le réflexe d'ouvrir les fenêtres en été. Ils me permettent d'avoir moins frais. Au point qu'un de mes plus grands soulagements de ne plus aller à l'usine sera de ne pas avoir à encaisser de clim. cet été ailleurs qu'au ciné ou dans quelques magasins et restaurants suréquipés.

J'aurais volontiers changé de place, seulement il n'en restait pas. J'ai donc attendu que son bras se fatigue. Ce qui, malgré un changement de côté, n'a pas trop tardé. Il n'était vraiment pas gaucher.

J'attends des jours chauds presque impatiemment et qu'enfin mon tour vienne, depuis plus de deux ans qu'il fait par ici froid ou frisquet à une ou deux semaines près, de me sentir énergique et bien. Que j'aie un temps un peu facile, enfin. Droit à une alternance. À un peu d'aller fort bien.


[photo : rebidouillée pour la rendre peu reconnaissable ne comptez donc pas sur moi pour préciser]


Un présent si parfait

Aujourd'hui, ici


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Stéphanot étudie le subjonctif, cet extraordinaire temps du français, dont il ne voit pas clairement l'utilité.

Alors je plaide la cause de ce temps si injustement méprisé alors qu'il nous accorde une belle subtilité.

Devant un effort visible de sa part pour ravaler quelques sarcasmes, je laisse provisoirement tomber. Il est de plus l'heure de la lecture du soir.

"Les Misérables", qu'il parvient à apprécier dés lors que je fournis tous compléments d'explications nécessaires, tant pour le langage que pour l'Histoire ou les faits de société.

Le chapitre de ce soir s'engageait ainsi : "Un jour Cosette se regarda par hasard dans son miroir et se dit : Tiens ! Il lui semblait presque qu'elle était jolie. Ceci la jeta dans un trouble singulier. Jusqu'à ce moment elle n'avait point songé à sa figure. Elle se voyait dans son miroir, mais elle ne s'y regardait pas.
[...] - Si j'étais jolie, pensait-elle, comme cela serait drôle que je fusse jolie ! -"

Et là n'écoutant que mon devoir de mère, malgré l'appel du texte, je bondis : 
 - Voilà, tu vois, ça peut servir le subjonctif imparfait et ce n'est pas toujours ridicule. Comment tu dirais, à sa place ?

Devant son air vaguement mitigé, et afin de ne heurter en rien sa susceptibilité adolescente toute neuve, je corrige : 
 - Oui, bon, d'accord toi tu ne dirais pas que tu es jolie.

Et lui, contre-attaquant aussitôt : - Ben non je dirais pas ça moi je dirais "Que je suis trop beau gosse !"
puis l'estocade :
- Tu vois, moi, je m'en passe de ton subjonctif.
 

[photo : à Beaubourg se faire beaux et bronzé(e)s dés les (tardifs) premiers rayons]


Plus tard

Cette semaine qui s'achève, par ici

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Grâce au conseil avisé d'une amie, j'ai enfin trouvé l'énergie acheteuse (1) suffisante pour m'équiper d'un nouveau petit ordinateur afin de remplacer avant panne fatale celui de deux ans 1/2 d'âge qui s'épuisait.

"Il faut dire que tu les uses" dit le père de mes enfants, encore dans le souvenir de l'état du clavier du précédent, aux touches brillantes et creusées par les heures que j'y passais, et conscient que j'y pccupe par défaut tout mon temps.

Ce n'est pas de l'addiction, c'est pour les 2/3 un besoin de travail désespéré d'avoir perdu près de 20 ans à tout autre chose. Les 2/3 du tiers restant constituant en communication avec ceux que j'aime. Et le reste en quelques démarches et corvées que l'ordinateur sait simplifier.

Le nouvel outil me redonne l'envie, je fatiguais de trop de temps morts que son prédécesseur à présent m'imposait.
Écrire s'accomode mal d'instant de "sablier" au clavier insensible, et autres extinctions subites. Préoccupés de sauvegarde on n'écoute plus les mots comme il fallait.

Mais il faut apprendre, je change de religion, ça n'est pas rien, tout un nouvel évangile à assimiler, transférer certaines infos, en profiter pour faire le ménage d'autres qui à la longue encombraient.
Une porte s'est donc ouverte mais l'au-delà est escarpé.

Il y a eu aussi l'effet d'une féroce nostalgie. Mon dernier usage intensif de machines de cette obédience remontait au comité de soutien à Florence Aubenas et Hussein Hanoun. Et si je ne suis en rien regrettante de ces 5 longs mois de tension permanente et peur chevillée, je le suis de qui je côtoyais en ces temps anciens et d'une plénitude affective qui m'a depuis été retirée. Mon corps retrouvant certains automatismes aurait tant voulu rejoindre ses bonnes, douces, sensuelles et malicieuses habitudes d'alors. Et puis s'il a perdu les sensations de l'amour partagé, il n'a pas oublié celles des embrassades d'un fameux 12 juin.

Enfin il y a tous ces mots de passe à redécouvrir, ressaisir, toutes ces petites bricoles qui refusent de fonctionner alors qu'en théorie elles devraient - pourquoi, godverdomme, l'ordinateur et le téléfonino qui pourtant se voient via bluetooth refusent-ils obstinément de se causer, cruel rappel de ma non-vie amoureuse ? -, ces astuces de clavier qui me font trébucher, du temps passé, perdu, sur des forums et des FAQ à chercher la clef, le cas décrit qui serait le même et non pas un approché.

Heureusement, aujourd'hui, le petit journal a repris, cette chouette communauté informelle et fluctuante auprès de laquelle je me sens à l'abri, contente de pouvoir contribuer puisqu'exister me semble si difficile désormais.

Et j'ai enfin retrouvé l'usage partiel mais stabilisé de mes disques musicaux dûment copiés dans le logiciel approprié.

Plus tard, je me dirai qu'il fut important dans ma vie, ce mai, même si pas tant qu'avril. Pour l'instant, je rame, je souque ferme et parfois défaillant, afin de consolider ma virtualité, puisqu'ailleurs ma place est si floue.

Une nouvelle vie, après ?

 

(1) Un des billets à peine esquissé et non publié (pour l'instant) racontait comment j'ai dû m'y prendre à 3 fois là où j'avais (pour des raisons de cartes et réduction et service après-vente) choisi d'aller, avant de pouvoir accéder à un vendeur prêt à enregistrer mon achat. La crise a bon dos. Combien de transactions sont ratées ici ou là par manque de possibilité de les effectuer pour le client de bonne volonté ?


[photo : non loin de la gare, cette porte toujours fermée, sauf aujourd'hui en soirée]

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Ils lisent mon blog ou quoi ?

Ce matin, marchand de journaux

22052009(001) J'ai éclaté de rire, le marchand de journaux a eu l'air un brin interloqué d'autant plus qu'ensuite je prenais la couv. en photo, mais il n'a pas osé demander pourquoi.


Etrange époque où plus nous écrivons et inventons n'importe quoi, plus la réalité dépasse la fiction.


Je suis très heureuse qu'une série de sabliers de mars 2008 m'ait permis avec plus d'un an d'avance d'offrir un scoop à mes lecteurs !
Et ceux qui me connaissent seront hilares de constater qu'il s'agit qui plus est d'un scoop pipole, moi qui suis tellement orientée sur ce thème, n'est-ce pas ?


Angelina mon amour



Pour une amie

Si d'aventure vous ne partez pas en villégiature au week-end de la Pentecôte, en quittant Paris dés le vendredi, ou si vous n'êtes pas spontanément parisiens mais que vous y venez à ce moment-là, vous pourriez peut-être faire un petit détour par la librairie Chez Colette (métro Rambuteau) le vendredi 29 mai à partir de 18 heures.
Il y sera question de Vengeances romaines.

Gilda Piersanti chez Colette_edited