Le sauve-qui-peut des sanglots (longs)
La montre est un téléphone

Le pire jeu de mots que j'aie jamais fait (à ce jour)

Dimanche soir et puis lundi au lit

De mes aventures récentes, Stéphanot qui en prince de Motordus des noms propres est franchement remarquable  (1), a retenu que j'avais croisé un écrivain Américain du nom de Paul Husteak avec sa femme Zorro, Zara, Sara, Siri.

D'une mésaventure ancienne, il se souvient que sa soeur, fort docte pour son jeune âge d'alors, avait conclu qu'un couple d'écrivains allait droit vers la séparation dés lors qu'il s'envisageait parents. Elle avait dit que c'était inévitable, "parce qu'il n'y avait plus personne pour s'occuper des gosses".

Alors, par solidarité encore enfantine, le voilà qui s'informe :

- Et Paul Husteak et sa femme, ils ont des enfants ?

Je savais que c'était mal venu comme tout, vu que j'ai un peu lu, absolument idiot, moche et ridicule, mais je n'ai pas pu m'empêcher de répondre du plus pince sans rire que je pouvais :

- Oui une fille, Ashley.

Notre fou-rire résonne encore. M'accorderez-vous en circonstance atténuante que j'avais eu usine toute la journée et croisé samedi soir mon assassin préféré ?


(1) On se souvient encore à Montreuil du fameux centre nautique Michel Thermos

addenda du 25/06/08 : J'ai rude concurrence, ce n'est qu'en recevant ce matin la B.O. d'un film après avoir la veille rencontré quelqu'un qui a participé à celle du précédent du même réalisateur, qu'en feuilletant distraitement le livret je m'aperçois que dans l'histoire s'appelait Claude le transposé d'un François.

Non mais vous trouvez ça drôle ? Décidément le chagrin fait rire de n'importe quoi.

 

précision respectueuse : la vraie fille des vrais auteurs se prénomme Sophie, et j'aime à penser que ça n'est pas sans rapport avec une dame que j'aime beaucoup (et son travail aussi).

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