Une bonne raison
31 juillet 2007
ou
Du charme infini des téléfonini
Moi : - Salut Ignace (1), tu vas bien ?
Ignace visiblement heureux de l'appel : - Oh oui, quel bon vent ?
(je n'appelle pas Ignace souvent)
Moi : - Oh c'est juste qu'avec Vanessa, Mélanie, Stéphanot et Aurélie nous sommes en haut de la Tour Montparnasse, et qu'on s'apprête à descendre déjeuner au resto que tu connais. Comme ça nous ferait à tous plaisir de te voir et que tu bosses juste en bas, on se disait que si par coup de chance tu avais un peu de temps devant toi ...
Ignace : - Ah ben j'aimerais bien, c'est une bonne idée et puis ça m'aurait fait plaisir aussi de les revoir, mais là je peux vraiment pas.
moi (désappointée mais je m'y attendais, Ignace est le sur-occupé numéro 2 de tout mon entourage, supplanté depuis peu par une amie pour cause de conséquences électorales) : - On tombe mal, tu as trop de boulot ...
Ignace : - Ah non pour une fois pas du tout, c'est juste que je suis à Paimpol. En vacances.
A l'avance un immense remerciement au premier opérateur qui proposera, en plus des communications pour tous et partout, un service complémentaire de téléportation.
(1) je m'ai pas foulée, afin de ne pas mettre le vrai prénom j'ai pécho le saint du jour, c'est un petit petit nom charmant. Le vrai prénom de la vraie personne que j'appelais dans la vraie vie n'y ressemble d'aucune manière.
D'ailleurs tous les prénoms sont fictifs et Stéphanot aussi mais d'une autre façon (habituelle)
[photo : de là haut tout à l'heure]