Instantanés de salon
Was für eine komische Welt

Ceci aurait dû être un billet de 1er avril

mais hélas cette année le premier avril est arrivé bien trop tôt.

Pict0010 Quelle idée aussi qu'il tombe juste après le 31 mars !

Compte tenu des effets conjugués d'un retard certain dans mes lectures, et d'une translation de ma personne en des lieux non-capitalistiques

la suite de ce billet-ci que j'avais promise à quelques-uns,

n'arrivera qu'ultérieurement

à une date pour l'instant inconnue de moi-même.

[photo : un échantillon réduit de ma pile à lire]

 

J'aimerais aussi pouvoir enfin retrouver pour ce blog un ton moins triste que celui qui a déteint depuis déjà trop de mois. Depuis quelques jours le désespoir noir a cédé le pas à une étrange incertitude. J'éprouve le besoin d'y voir un peu plus clair avant de savoir sous quels vents continuer, si je peux enfin déplier un peu des voiles que la tempête m'avait fait carguer ou si l'accalmie pressentie est cruellement trompeuse.

Il se peut que je demeure quelques jours silencieuse.

Ou non.

(ceci n'est pas un poisson d'avril)

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