Alors voilà c'est toujours lorsque l'on se fait quitter, et plus c'est brutal et salement fait plus le syndrome est aigu, que l'on subit en plus un corps déréglé : prise ou perte de poids, traits bouffis ou bien creusés tout pour ne plus nous rendre attirantes et donner raison au lâche gougniafier dont la nouvelle conquête au contraire s'épanouit, est en beauté.
Et ainsi, plus on est délaissée moins on a de chances de pouvoir faire la rencontre qui du chagrin nous sauverait.
PS : Pour les hommes (hétéro - je ne saurais parler de ce que je ne connais pas) c'est moins gênant, même s'ils sombrent dans l'alcoolisme, ou une vie désordonnée, il se trouvera toujours quelque bonne âme pour les chérir en l'état, les aider à se retapper et qu'il quitteront par la suite pour une plus jolie plus sexy dès qu'à nouveau rendus séduisants. Injustice (1).
(1) Comme celle de l'âge venant dont parle si bien Simone (Signoret).
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