Je ne sais pas ce que ça fait à Jean-François, ou si ça l'indiffère, mais penser qu'il a passé dans cet immeuble tant d'heures et tant d'années heureux ou malheureux, amoureux de moi ou d'une autre, jeune père de famille puis moins jeune puis plus vieux, fait que ce lieu où je suis peu venue - parfois certains dimanche, quand il venait finir un projet - compte pour moi.
Ce samedi de mai 2013 nous passons devant en rentrant de Sceaux. J'ignore si c'est volontaire de la part de Jean-François ou simplement le chemin le plus direct à ses yeux.
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