Quand tu penses que le Grand Balbeb s'est mis au numérique alors qu'au printemps il t'a fait toute une scène comme quoi twitter était le diable et l'internet et ses atours rendaient les gens idiots (et que tu avais des préjugés de n'y pas croire).
Quand tu penses qu'Alexandre Astier était en état de grâce pour "Que ma joie demeure !" et que tous autant que nous étions (4 + 2) nous sommes sortis de là émus et avec le sourire.
Quand tu penses, toi l'homme courageux sexuellement, qu'on se connaissait en fait depuis 2007, un échange épistolaire concernant la maison d'édition que tu as dû abandonner.
(découverte du jour, en effectuant pour de tout autres raisons des recherches dans ma messagerie d'un des anciens ordis).
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