2 - I'm not really good at zippers

Urbex

video site Ouest France

Souvent j'ai comme une nostalgie des époques ou V. ou F. étaient dans ma vie

ce qui me sauve c'est d'être très consciente que l'idée que j'avais d'eux n'était pas la vraie personne, laquelle possédait des caractéristiques de ce qui suit (sans doute pas tant de perversion concernant V. mais quelque chose qui sévèrement va mal chez elle, est dangereux pour elle et pour les autres, sous des dehors formidables). Au passage je me demande si Ariane A. va bien. Je ne sais pas pourquoi je suis persuadée que ça y est c'est finit entre elles et qu'elle qui éprouva ce que j'éprouvais a aussi morflé. Mais que faire ? (et puis : peut-être que j'ai tout faux)

Syndrome post-traumatique

Tombée par hasard de clics sur ceci :

"Trois états du TSPT ont été établis :

L’intrusion : C’est la forme la plus connue de ce syndrome, car vous êtes en incapacité d’empêcher vos souvenirs de vous hanter. Mais bien plus que des souvenirs, ce sont de véritables flash-back qui vous donnent l’impression de revivre cette période traumatisante.

L’évitement : La réaction aigüe au stress est souvent confondue avec cet aspect car l’individu évite toutes ces situations qui peuvent déclencher ce malaise insupportable, jusqu’à le conduire à une amnésie totale ou partielle. Ce qui peut affecter vos facultés mentales et verbales. Mais l’évitement n’est pas seulement une perte de mémoire, cela peut se traduire par une insensibilité émotive qui a pour conséquence un repli sur soi-même, avec peu d’intérêt pour ses proches et les activités qui le passionnaient. Ces comportements d’évitements présentent de nombreux points communs avec la schizophrénie.

L’hyperstimulation : C’est une analyse constante du monde qui vous entoure, et c’est d’ailleurs la phase la moins détectable par l’entourage de la personne atteinte. Le fait d’être en constant éveil provoque de nombreux épisodes d’insomnies et par conséquent, une grande irritabilité. Ce comportement psychologique se rapproche de la paranoïa car vous imaginez constamment le pire"

Bon, je dirais qu'au lieu d'insomnie, chez moi ça aura plutôt produit de l'hypersomnie à la limite de la narcolepsie, probablement du fait que l'hyper-vigilance me fatiguait davantage que mon état de veille naturelle qui est déjà assez en mode "qui-vive" (mais de façon positive, pour l'écriture, les photos, par solitude aussi puisqu'aucun amoureux ne m'accompagne qui pourrait aspirer toute mon attention).

Petite recherche récapitulative

(billet sans doute provisoire c'est pour l'avoir à portée de clic)

série 1

série 2

série 3

série 4

série 5

série 6

série 7

série 8

série 9

série 10

série 11

série 12

série 13

série 14

série 15

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Je me souviens de Nono (devenu punk ado) et de Laurent C. (devenu entraîneur sur son temps perso)

Joël Dicker sur France Info au sujet de son roman "Les derniers jours de nos pères"

Apprenant aujourd'hui la mort d'une grande résistante qui avait participé au SOE, je trouve sur le sujet cette interview que Joël Dicker avait faite pour France Info lors de la sortie en format poche de son roman "Les derniers jours de nos pères". Le lien est là.
Le livre du jour : « Les derniers jours de nos... par FranceInfo

As time goes by

Il arrive parfois que l'amour dure un peu. S'il devient tendresse. Et si on se veut suffisamment de bien pour se rapprocher en cas d'adversité - ce qui dans la plupart des existences est beaucoup plus fréquent que le bonheur béat -.

Koudougou, 1987 (probablement)

Paris dimanche 18 octobre 2015, à l'expo Horsesvisions

27 ans.

PS : Le titre, bien sûr, c'est celui-ci

Dates des fugitifs (du futur)

(notes de lecture) (en vue d'une chronique)

 

12 juin 2013 la dernière fois que j'ai vu Mila
jeudi 13 juin 18h12
vendredi 14 juin 18h07 mails

Noël 2003 Liam en voiture avec son père
21h11 hôtel

fin juillet 2003 les enfants à Saint Cloud
19 au 20 décembre 2003 (nuit du) Achille explique à Liam

fin août 2003 mort d'Ilam

22 décembre 2003 article journal banlieue Mila sauvée

lundi 29 décembre 2003 Var matin mystère en mer

mercredi 7 janvier 2004 Liv Petersen article
mardi 16 novembre 2004 portrait Libé

été 2005 au printemps 2010 Liam vit en banlieue

début avril 2010 Romain tape Impératif - 5 et 6 échange de mails -

mardi 6 avril 2010 18h Port Royal lapin
mercredi 7 avril 2010 rien
jeudi 8 avril 2010 retrouvailles quitter le squat vers 17h Achille déverrouille Liam

fin 2008 création cellule Phéas

9 février 2010 le dossier Keller Tanakis sort du sommeil

samedi 10 avril 2010 Le Parisien squat tuerie

mardi 13 avril 2010 Figaro autre victime

milieu 2013 révélations générales espionnage de masse

vendredi 9 avril 2010 matinée Gaillon 

samedi 17 avril 2010 flash 22h43 TGV 21h12 arrêt

fin 2003 appartements de Lyon les pères et leurs enfants

2 juillet 2010 Troll convoque Baloo

14 mars 2004 mort de Yak à Buenos Aires

dimanche 11 juillet 2010 blog Camille Lepic performance du samedi 10 juillet 
mort de Tanakis en direct
12 juillet cellule Phéas placée sous tutelle

 

 

 

 

 

 

 

Paroles (Put the blame on Mame)

When they had the earthquake in San Francisco
Back in nineteen-six
They said that Mother Nature
Was up to her old tricks
That’s the story that went around
But here’s the real low-down
Put the blame on Mame, boys
Put the blame on Mame
One night she started to shim and shake
That brought on the Frisco quake
So you can put the blame on Mame, boys
Put the blame on Mame

They once had a shootin’ up in the Klondike
When they got Dan McGrew
Folks were putting the blame on
The lady known as Lou
That’s the story that went around
But here’s the real low-down
Put the blame on Mame, boys
Put the blame on Mame
Mame did a dance called the hoochy-coo
That’s the thing that slew McGrew
So you can put the blame on Mame, boys
Put the blame on Mame

 

via un bon billet de blog chez BNoirDetour pour un challenge chez Sister Celluloïd 

Un air de famille (lointain mais néanmoins)

 

 

Ce qui est curieux c'est que je ne crois pas que j'avais vu sa photo avant ce soir. Et que je suis tombée dessus en cherchant tout autre chose (as usual).