C'est la lecture de quelqu'un, qui est passé de ce billet du Petit Journal de chez François Bon à Traces et trajets, ce qui m'a intriguée, qui m'a fait (re)découvrir ce qu'en 2008, encore sous l'emprise du chagrin d'amitié si violent de février 2006, j'écrivais. Pourtant celui qui fut à l'origine du chagrin (celui-ci amoureux) suivant avait déjà entrepris de me consoler (mais nous ne nous étions pas encore physiquement rencontrés et je ne pensais à rien du désir, alors que sans doute lui si - ça aura probablement été l'inverse après -), mais voilà, on ne se remet pas si simplement d'une amitié fondatrice interrompue en se faisant ghoster.
La vie a si fort changé, en pas si mal malgré tant et tant de difficultés, que je suis fort heureuse de n'avoir pas cédé, malgré que ça était si dur, pendant toutes ces années d'après. J'écris ce billet afin de me le rappeler face aux prochaines duretés.
PS : Le titre de ce billet, bien sûr vient une fois de plus de là.
PS' : À cause des turbulences de ma vie je n'avais plus guère le temps de beaucoup y participer, mais le Petit Journal de chez François Bon, qui n'est plus collectif depuis quelques temps me manque.
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