J'ai enfin rencontré ton ami Franz. Tu m'avais si bien parlé de lui, en plus des livres que j'avais lus, dont celui que tu m'avais offert et qui est à présent dédicacé, que j'avais l'impression de retrouver un vieux pote.
Lui ne savait rien de moi, ou il s'est bien gardé de le montrer.
Ça rendait les choses étrangement déséquilibrées.
J'ignore et c'est dommage quand je le reverrai. Quel regret que tu ne me l'aies pas du temps de nous deux présenté. Sans doute parce que je ne suis pas de ces femmes que les hommes sont fiers d'exhiber. Tout en ayant quand même peut-être un peu peur de se les faire emprunter ?
Je crois que je ne comprendrais jamais.
En tout cas ce fut une bien belle soirée et j'ai l'impression d'avoir réparé une omission, comblé quelque chose qui manquait.
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