En tentant une fois de plus de libérer de la place dans la mémoire de mon ordi, je retrouve cette invitation d'octobre 2013. Le souvenir de combien elle m'avait fait plaisir - lorsqu'on a été si brutalement quittée que par deux fois je l'ai été on finit par se sentir de trop partout et pour tous, alors avoir l'honneur de l'amitié d'une personne qu'on estime et dont on n'attendait pas tant d'attention fait alors infiniment de bien. Le souvenir de combien le dress-code m'avait compliqué la vie (manquer à la fois d'argent et de goût du déguisement).
On dit souvent que lorsque les gens perdent leur emploi, ils perdent aussi les liens sociaux amicaux. J'avoue que dans mon cas, lors de mes deux passages de quelques mois par la case "chômage", il n'en a rien été. Les ami.e.s au contraire m'ont d'autant plus accueillie, soutenue, aidée.
Paradoxalement, c'est à présent que je suis très prise par un emploi dans les beaux quartiers que je me sens seule, isolée.
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