Tu évoques la violence du monde et de certains romans combien ils te mettent en colère du simple fait d'en rajouter. C'est déjà suffisamment insoutenable, précises-tu. Puis quelque chose comme, on a envie de quitter les lieux en courant, de s'enfuir de l'école si on était enfants. Et aussi que tu n'es pas en colère contre ceux qui les écrivent.
Et si c'était celle du livre de ma vie, celle que par les circonstances cumulées j'avais subie, qui t'avait à ce point fait flipper que généré ta fuite muette en espérant que je comprendrais ?
Sans te douter de quelle propre violence à celle du monde ainsi tu ajoutais ? Ni du danger auquel tu m'avais exposé.
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