J'ai souvent avec des hommes, les femmes étant généralement plus habituées à se résigner à ce que l'existence nous fait, souvent cette discussion autour d'un "quand on veut on peut" dont certains sont friands, ce qui est assez curieux au vu des tours que leur joue leur corps (1).
Je réponds que si la vie m'a appris quelque chose c'est que peu résiste au travail, que la ténacité tant qu'on a assez de santé vient à bout de bien des vicissitudes, que les coups durs peuvent être des opportunités de libération et parfois surprenantes bifurcations, mais que néanmoins voilà, avec bien des contraintes et des coups du sort il faut "faire avec", qu'on n'a pas d'autre choix que les subir et qu'ils ne dépendent pas de soi.
Le hic c'est que je suis un mauvais exemple de ce que je défends.
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