Lorsque j'ai lu Orlando j'ai pleuré ma race, comme dirait les plus jeunes d'ici et maintenant.
Plus tard, à la lecture d'articles et de biographies, de quelques extraits de correspondances (1) et de journaux quotidiens (diari) j'ai compris pourquoi. Cet article d'Erika Martelli sur Slate vient ce soir me le rappeler.
"Le 6 octobre, trois jours avant de recevoir une lettre de Vita lui demandant pardon, elle commence la rédaction d’Orlando, roman symbole de sa passion pour Vita et, en même temps, acte douloureux et mélancolique qui marque sa fin."
(1) Je suis toujours mal à l'aise avec ça même des décennies après la mort des expéditeurs et destinataires.
Lire la suite "Il y a souvent une explication à ce que l'on ressent" »
Les commentaires récents