"Hana était assise dans l'embrasure de la porte de la petite pièce aux tatamis, face aux ruines calcinées du jardin, son kimono sur les hanches, nue jusqu'à la taille pour recevoir le massage et les caresses qui étaient le prix convenu de leur jeu."
Trevanina, "Shibumi" (ed Gallmeister trad Anne Damour p 441)
(J'ai l'esprit mal tourné oui je sais)
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