"Pourquoi Marie voyait-elle d'un aussi bon œil les travaux d'approche de Roberto ? [...]. La réponse je l'ai eue sans tarder. Quand je suis arrivée décomposée après ma nuit d'amour avec Roberto, Marie a littéralement hurlé de rire. Et je me suis bientôt mise à rire aussi, jusqu'aux larmes. En plus d'être un type très sympathique, Roberto était un guitariste virtuose et infatigable, il pouvait jouer des heures sans s'arrêter - et la nuit, au lit, c'était pareil."
Francis Dannemark, "Les petites voix" (Belfond, 2003)
Je dirais même plus, c'est un flagrant délit, à moins qu'un bel exemple de présence de personnages qui incarnent le contraire de ce qu'on est (je n'en sais rien, après tout, ça se peut aussi - comment savoir ? -).
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