Curieuse concordance dans mes lectures du jour, peut-on parler d'un effet Zahir des livres entre eux ?
"Bergfield se penche sur l'enfant et le gifle métronomiquement." (CosmoZ de Claro - Actes sud page 28 -)
"Il est un amant métronomique, presque clinique." ("Le cœur régulier" Olivier Adam - L'Olivier page 35 -)
Ce n'est pas que l'usage du métronome soit rare en littérature mais dans des textes, des chapitres, où la musique est absente il n'est pas si fréquent.
Allez, avouez les gars, c'était entre vous un jeu ?
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