Dix ans plus tard ou peu s'en faut, le côté privé n'a plus le même sens. Alors le clin d'œil était pour mon amie marie, laquelle s'était en juin mariée élégamment vêtue une robe de cette marque. Un de mes habits venait de là aussi (une folie au moment de soldes) et ç'en est l'emballage. C'était un difficile été, mon père se mourait et elle m'avait fait parvenir des pages de son livre en cours, qu'elle écrivait avec son amie Lydie V. à quatre mains, au sujet de la maladie dont cette dernière souffrait. J'y puisais la force d'aider mon père. Il y avait aussi en rentrant après "l'Usine" ou l'hôpital des délires sur le blog que tenait Ann Scott chez 20six et qu'on développait dans les commentaires avec Virginie et Philippe. Au jour le jour, je tenais comme ça. Il n'y avait aucun espoir pour mon père, une loi permettant aux personnes de mourir dans la dignité lui aurait épargné un été d'atroce agonie - d'ailleurs dans ses derniers moments de lucidité il réclamait qu'on l'aide à mourir, sans tarder -. J'ignore ou ne me souviens plus si marie avait ou non vu ma petite photo, si elle m'en avait fait commentaire. (vendredi 3 janvier 2014 20:31)
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