Toujours sous l'emprise de la tristesse du chagrin principal, je dois me faire violence pour aller au cours de danse à 14 heures à Le Pelletier, puisqu'ensuite les clubs vont fermer pour le réveillon de la nouvelle année.
Mais je me dis que nous risquons d'être peu nombreux et qu'il est important pour Brigitte que nous soyons assez.
En arrivant, bonne surprise : alors qu'en fin d'une chorégraphie délicate car elle comprend une partie en duo, nous voilà plus de 15 prêts à travailler jusqu'au bout de l'année.
Le cours s'est déroulé dans une ferveur particulière.
Il fut bon de danser.
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