
Je peux m'offrir ce luxe de passer la journée à la BNF. Si j'en avais les moyens, je vivrais ainsi : triathlon, radio et travail d'écrire et de m'instruire, plus tout le travail de la maisonnée ; ça constituerait une vie bien remplie.
Avec la photo comme corolaire à l'écriture, quelque chose est là pour moi peu dissociable.
Comme je dispose de mon temps, et savoure cet état, je choisis de m'y rendre par le RER C - en pratique, raté, pour cause de travaux d'été mais je ne le saurais qu'en entrant dans la station -. En passant, je constate que l'herbe verte du tram qui en fait un élément élégant du paysage urbain, n'a pas résisté aux chaleurs et au peu de pluie de juin puis ce début du mois. Ça donne quelque chose de différent ; qui n'est pas laid, mais peu rassurant (1).
(1) On suppute facile le moindre embrasement.