C'est parmi les choses qui ont le plus changé depuis mon enfance. En ce temps là les usines s'activaient, des gens, des voisins, des amis, des lointaines parentées y travaillaient, mon père lui-même, mais plus à l'atelier tenait il parfois à préciser. Beaucoup, lorsqu'il s'agissait de fabriques et non d'immenses complexes, présentaient encore cette architecture aux toits si particuliers.
Dessine-moi une usine ..., on commençait par les zigzags puis on complétait le bas. C'était commun dans notre quotidien.
À présent, c'est une surprise de croiser en proche banlieue de ces bâtiments-là, même abandonnés. Attendue chez des amis, je marche rapidement sous la pluie mais prends le temps de les photographier. D'assez loin. Pas d'accès.
[samedi 5 septembre 2015 20:01, Colombes]
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